Perspectives de croissance et compétitivité à l’export des Etats Unis
D’après la récente révision des perspectives de marche réalisée par l’USDA, l’offre de porc restera forte dans les prochains mois et l’export élevé.
D’après la récente révision des perspectives de marche réalisée par l’USDA, l’offre de porc restera forte dans les prochains mois et l’export élevé.
Malgré une demande record en avril, la Chine reste attentive à la qualité des importations. De nouvelles mesures ont été prises pour garantir la sécurité sanitaire des viandes.
En Europe, la demande en viande s’améliore mais les fériés du mois de mai et le ralentissement d’activité de certains abattoirs pèsent aussi sur la fluidité du marché.
L’épidémie de Covid-19 pénalise les échanges mondiaux. Elle affecte la demande chinoise et amplifie la concurrence entre exportateurs. Dans le même temps, l’UE négocie un accord commercial avec le Mexique pour développer ses débouchés.
La crise sanitaire impacte le porc, aussi bien sur le marché intérieur qu’à l’international. L’activité des entreprises de la filière connait de sensibles changements.
Espagne en tête suivi de l’Allemagne et la France en 3ème position.
La chute de l’offre de porc sur le marché chinois perturbe l’économie mondiale. C’est pourquoi fin 2019, ABCIS a conduit avec d’autres experts du marché chinois, une étude sur l’impact sur les marchés mondiaux des protéines, de l’épidémie de Fièvre Porcine Africaine qui sévit en Chine et en Asie du Sud-Est. Cette analyse de la filière porcine chinoise mesure les impacts de la PPA et propose des scénarios d’évolution de la filière chinoise et des marchés internationaux du porc et des protéines.
Selon l’USDA, les perspectives pour le porc aux Etats-Unis sont plutôt optimistes. La production américaine aurait augmenté de près de 5 % en 2019 et poursuivrait son évolution à ce rythme en 2020.
Deux fois par an, l’IFIP réalise une prévision du prix de l’aliment français pour porc, premier poste de coût pour les élevages porcins.
Deux fois par an, des prévisions de la production porcine sont réalisées dans chaque pays européen (en France par l’IFIP) qui permettent d’envisager les évolutions futures du cours du porc.
La consommation française résiste à la hausse des prix tandis qu’industriels et distributeurs cherchent des solutions durables pour l’équilibre de leurs relations commerciales.
Le secteur de l’alimentation animale biologique bénéficie d’une croissance importante mais la production végétale française reste toutefois insuffisante et oblige le secteur à compléter ses besoins par des importations.
La consommation de viande des Français poursuit son recul. La place des produits carnés dans leur alimentation poursuit sa mutation avec l’essor des produits élaborés et le dynamisme de la consommation hors foyer.
En 2018, les relations commerciales entre les acteurs mondiaux ont été perturbées, impactant les échanges des produits du porc. La Chine, plus gros importateur, continue d’influer le commerce mondial du porc.
En 2019, la production porcine européenne devrait se stabiliser. Une consommation intérieure baissière dans l’UE à 28 et une forte demande des pays tiers devraient tirer le prix du porc à la hausse.
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