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Aider les truies à la mise-bas est une pratique qui, dans quelques élevages est effectuée de manière irrégulière, c'est-à-dire seulement pour des animaux qui ont des difficultés à mettre bas, ...

Lors des phases précédant la mise-bas nous avons évoqué une série de modifications de comportements physiologiques de la truie facilement observables.

Dans la salle de mise-bas deux "microclimats" coexistent avec des exigences d'ambiance presque totalement opposées : celui des truies et celui des porcelets.

Le déclenchement ou la programmation de la mise-bas consiste à "obliger" pharmacologiquement la truie à mettre bas dans un intervalle de temps souhaité.

Sur le marché on trouve différents moyens pour créer une zone confortable pour les porcelets ; mais les meilleurs résultats sont obtenus avec de telles solutions, parfois artisanales...

Pour répondre aux exigences d'un contrôle complet sur le plan sanitaire de l'élevage, une pratique de plus en plus utilisée est le lavage des truies avant l'entrée en maternité.

Le nettoyage et la désinfection de la maternité, comme de tous les locaux de l'élevage, a de plus en plus d'importance.

Dans ce chapitre, nous évoquerons les traitements non vaccinaux sur les reproducteurs prêts à la mise-bas.

Il est fondamental que, grâce au colostrum, les nouveau-nés puissent assimiler dans les premières heures de vie une importante dose d'anticorps spécifiques contre ces pathologies.

Après la lactation la truie souffre d'une diminution de la graisse dorsale à un degré plus ou moins marqué en fonction de facteurs tels que l'alimentation, la gestion, la génétique et l'état sanitaire.

Le contrôle de l'état d'engraissement devient l'un des sujets qui, jour après jour, prend de plus en plus d'importance dans la gestion de l'élevage.

Le dioxyde de carbone (CO2) est un gaz qui, lorsqu’il est respiré, produit une insensibilité sans laisser de résidus chimiques inacceptables dans la carcasse. L’utilisation de ce système a fortement augmenté à cause de ses effets positifs sur la qualité de la viande.

L’abattage des animaux de production est un des points clés du bien-être animal. La pression exercée par les consommateurs, les associations de protection et les moyens de communication a eu pour effet l’obligation de procéder à un «abattage humanitaire».

Le transport diminue le rendement des carcasses, et ce pour divers motifs. La perte de poids, sans parler du contenu intestinal, est vraisemblablement l’un des plus importants, bien que ceci ne se produise que dans le cas de transport longue distance.

La phase d’engraissement prend fin avec le transport des animaux à l’abattoir. Cette phase de transport est très certainement une des plus critiques de la chaîne de production, et ce pour deux raisons principales.

La valeur d'un verrat, en tant que reproducteur, dépend de sa fertilité et de son comportement sexuel, outre bien sûr, sa capacité d'amélioration génétique.

Le cycle sexuel de la truie est un élément clé dans une exploitation porcine, car de lui dépend la production des porcs d'engraissement. Ce cycle peut être modifié par des facteurs comme le stress qui peut allonger ou raccourcir les différentes phases du cycle en fonction du moment où ils apparaissent.

La nouvelle réglementation européenne prévoit l'obligation de loger les truies en groupe entre la 5e et la 14e semaine de gestation. Toutefois, cette législation envisage diverses possibilités, à sélectionner selon différents facteurs.

La nouvelle législation européenne vise à éviter ou à réduire les principaux problèmes de bien-être chez les truies gestantes. Le placement dans des cages entraîne le développement de stéréotypies, ...

Dans le cadre de cette législation, trois aspects sont fondamentaux : la densité des animaux, les caractéristiques du sol et la formation du personnel.

Quant à l'élevage des truies en groupe, il doit effectivement permettre aux truies d'exprimer mieux leurs besoins comportementaux.

La manière la plus utile de comprendre le bien-être animal est de le rattacher au degré d'adaptation des animaux avec leur environnement.

Les facteurs stressants peuvent être d'ordre physique, comme des températures environnementales extrêmes, ou le manque d'eau ou d'aliment.

Un apport suffisant en eau du point de vue quantitatif et qualitatif est très important pour le bien-être du porc.