Le Brésil peut désormais vendre ce produit aux consommateurs chinois grâce au protocole signé entre son Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage (MAPA) et l'Administration Générale des Douanes de Chine sur les exigences sanitaires et de quarantaine pour les protéines animales terrestres transformées.
Les protéines transformées de volaille et de porc comprennent la farine de viande, les os, le sang, les plumes, entre autres, et sont utilisées dans la fabrication d'aliments pour animaux. Le Brésil est l'un des principaux exportateurs de farines d'animaux terrestres, derrière l'Union européenne, les États-Unis et l'Australie. La Chine est le troisième acheteur de ce produit.
Selon le protocole, les entreprises souhaitant commercer avec la Chine doivent disposer d'un système de gestion de la qualité de type Analyse des risques et maîtrise des points critiquesde et d'une traçabilité efficace. Seules les matières premières provenant d'animaux nés et élevés au Brésil dans des zones exemptes de fièvre aphteuse, de peste porcine classique, de peste porcine africaine, de maladie vésiculeuse du porc et de grippe aviaire hautement pathogène, abattus dans des établissements officiellement agréés et soumis à une inspection ante et post mortem, sont autorisées.
14 avril 2023 /MAPA /Brésil.
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