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Le vice-Premier ministre Ma Kai et Bruno Le Maire ont présidé le 5ème dialogue économique et financier entre la France et la Chine. Ce dialogue a été un succès.
Des résultats très concrets ont été obtenus dans les intérêts de les deux pays, parmi lesquels, sur l’agroalimentaire, la France a obtenu dans les secteurs du lait infantile, de la viande de porc et de la charcuterie la publication des résultats d’audit que le gouvernement attendait et la délivrance d’autorisations d’exportations pour les établissements conformes d’ici la fin de l’année 2017.
Selon publie Ouest France, les importations chinoises de viande de porc ont bondi, l’an dernier, à environ 1,6 million de tonnes. Apportant une salutaire bouffée d’oxygène aux producteurs français. La demande de la Chine de porc transformé progresse, elle aussi, à un rythme soutenu. Mais, jusqu’à présent, Pékin n’autorise qu’une poignée d’exportateurs de produits à base de viande transformée, notamment le jambon sec et autres charcuteries.
Des inspections ont été menées en France, en 2015, mais dans l’attente de la publication de leurs conclusions, les entreprises françaises ne peuvent toujours pas exporter leurs produits transformés vers la Chine. Les autorités chinoises ont annoncé qu’elles publieraient les résultats de ces audits avant la fin de l’année. Ils devraient permettre d’exporter plus facilement du bœuf, du porc, de la charcuterie et du lait pour nourrissons, a déclaré le ministre de l’Économie et des Finances, à l’occasion du Dialogue économique et financier franco-chinois.
Vendredi, 1 décembre 2017/ Ministère de l'Economie et des Finanaces/ France.
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