Nouvelles - Economie

D'ici 2023, la production, les exportations et la consommation devraient diminuer et les importations augmenter.

La production porcine en France a reflété l'évolution du cheptel avec un recul de 1,4% en têtes et de 2,3% en volume par rapport à 2021.

L'indice FAO des prix de la viande porcine a augmenté en février.

L'indice FAO des prix des céréales a baissé légèrement par rapport à janvier et a dépassé de 1,4 % son niveau d'il y a un an.

Le Gouvernement présente un plan de soutien et de souveraineté des industries agroalimentaires pour accélérer les transitions (énergétiques, écologiques, environnementales), renforcer la compétitivité et soutenir la création de valeur au cœur de la chaîne alimentaire.

L'augmentation de la production porcine a renforcé l'offre nationale, et répondrait à la hausse de la demande, générant une consommation par habitant se situant actuellement autour de 20 kg/habitant.

En Autriche, au 1er décembre 2022, on comptait environ 1,86 million de bovins et 2,65 millions de porcs ; moins de bovins et de porcs ont été abattus.

Une fois de plus, l'estimation de la production des cultures argentines a été réduite, en raison des conditions climatiques défavorables qui ont accompagné le développement des cultures dans ce nouveau cycle.

Le Canada et le Mexique ont conclu un accord sur le commerce des aliments biologiques, reconnaissant les deux systèmes biologiques nationaux comme étant équivalents.

Le nombre de porcs abattus en Belgique a diminué de près de 10 % en 2022, pour atteindre un niveau jamais vu depuis 30 ans.

La première opération de l’année de stockage des réserves porcines de l'État est en cours.

Le Parlement exhorte la Commission à assurer l’approvisionnement en engrais, à agir pour faire baisser les prix et à accroître l’autonomie stratégique de l’UE.

En 2022 les exportations en volume de viande de porc de la France reculent et les importations progressent.

Au Brésil, les abattages de porcs ont augmenté de 2,7 % au quatrième trimestre 2022 par rapport à la même période de l'année précédente.

Les abattoirs ont produit 7 millions de tonnes de viande, soit 1,3 million de tonnes de moins par rapport au record de 2016.

Les prix mondiaux du riz et du maïs ont augmenté, tandis que ceux de l'orge et du blé ont baissé en janvier.

Selon le rapport de Rabobank, "Global Pork Quarterly Q1 2023", l'offre devrait être serrée au premier trimestre et la consommation devrait être incertaine. Le commerce mondial du porc risque d'être limité. La hausse de l'inflation et les stocks accumulés élevés en 2022 exerceront une pression sur les besoins d'importation.

L'effectif porcin de la Pologne s'élevait à 9,62 millions de têtes en décembre 2022, soit une diminution de 6,0 % par rapport à la même période de l'année précédente.

Les prix mondiaux de la viande de porc ont légèrement baissé en janvier en raison de l'offre abondante de porcs prêts à l'abattage et des importations chinoises plus faibles que prévu.

Dans son dernier rapport "Livestock and Poultry : World Markets and Trade" du 12 janvier, l'USDA recalcule les chiffres de clôture pour 2022 et ses estimations pour 2023, prévoyant une croissance de la production mondiale de viande de porc cette année grâce à une hausse de l'offre nationale chinoise.

Les estimations concernant la production et les exportations du Brésil sont revues à la hausse, tandis que le volume des importations du Mexique a été ajusté à la baisse.

En décembre, on a constaté une forte diminution du nombre de porcs abattus, le stock de porcs diminuant moins rapidement.

Il y a eu une augmentation des exportations vers la Chine de porc et d'abats.

FEBEV et FENAVIAN ont décidé d'intégrer les systèmes calculant les fluctuations du marché existants.