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Après d'intenses négociations, le Ministère fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture a réussi à faire accepter le concept de "régionalisation" à un certain nombre de pays tiers. Le Vietnam a été le dernier pays à accepter cet accord.

Cette suspension permettra aux exportations vers les États-Unis de certains produits agroalimentaires de l'UE, notamment la viande de porc, de commencer à se rétablir.

Voici comment se présente la situation en ce qui concerne les exportations, la consommation et les coûts de production.

En 20 ans, l'UE est passée d'un peu plus de 58.000 tonnes d'exportations vers la Chine à plus de 3 millions de tonnes, soit une augmentation de 5.400 %.

En seulement 5 ans, l'Espagne a augmenté sa production de viande de porc de 20%.

A partir du 15 mars, Danish Crown supprime les quotas pour les livraisons de porcs, introduits en novembre 2020.

L'accord protège environ 200 produits agroalimentaires emblématiques d'Europe et de Chine contre l'imitation et la contrefaçon, en les présentant aux consommateurs comme des produits authentiques et garantis provenant de deux régions aux riches traditions culinaires et culturelles.

L'arriéré de porcs à abattre en Allemagne a été réduit à un point tel qu'il n'exerce plus aucune pression sur le marché.

Singapour a travaillé sur un accord de régionalisation de la PPA, autorisant les importations de viande de porc en provenance de certaines régions d'Allemagne.

La Commission lance une consultation sur le futur plan visant à garantir l'approvisionnement alimentaire et la sécurité alimentaire en temps de crise.

En 2020, les importations espagnoles de porcs vivants ont augmenté de 41,6% par rapport à 2019.

Les exportations de la UE ont augmenté de près de 19%, la Chine étant la principale destination avec plus de 60% du total.

Selon France AgriMer, tous produits porcins confondus, les volumes importés en France se sont réduits en 2020.

Les exportations de viande de porc vers la Chine en janvier de cette année sont le double de celles du même mois l'année dernière.

Les importations japonaises de viande de porc ont chuté de 6% en 2020, principalement en raison de la diminution des volumes importés de l'UE.

Le Commissaire européen à l'Agriculture, Janusz Wojciechowski, a envoyé une lettre officielle aux différents ministres de l'Agriculture confirmant que la filière porcine montre des signes de reprise.

Les importations de viande seront désinfectées, testées et tracées afin d'arrêter la propagation de la COVID-19.

La Russie a exporté plus de 500 000 tonnes de viande en 2020, soit 55% de plus qu'en 2019.

La production de bétail et de volaille destinés à l'abattage en poids vif pour les élevages de toutes catégories a atteint 15,6 millions de tonnes, soit 3,1% de plus qu'en 2019.

L'utilisation du blé par la Chine pour l'alimentation animale a atteint son plus haut niveau en 25 ans, tandis que les importations de maïs sont toujours à un niveau record pour répondre à la reprise de l’effectif porcin après la PPA.

Les exportations américaines de viande de porc et leur valeur ont augmenté de 11% par rapport aux records de 2019. "La Chine n’est pas la seule success story en 2020..."

L’élevage porcin a continué à se redresser en Chine, entraînant une baisse des prix.

Malgré les fermetures d'abattoirs dues à la pandémie de Covid-19, la production de viande a connu une légère baisse par rapport à 2019.