pour votre info

 https://www.facebook.com/cfdtcooperllamballe?fref=ts

allez voir ce lien les salariés cooperl traine la coop en justice eux aussi sont pris pour des larbins

a ceux qui aurrait envie de critiqué je vous propose de faire une semaine sur une chaine d'abatage

court egal en alemagne

la prodution sur la zone uniporc sur 40 semaines

2014                            2015

14417561                     14389154      soit -0.20% source mpb

mon analyse : encore une foit on nous raconte des conneries

il faut en 2015 rajouté les 70000 porcs en retard dans les élevages on arrive a

14459154 porcs produit sur les  40 semaines de 2015 soit une hausse de la production de0.28 % au quel il faut rajouté 1 kg de plus par porcs sur 1 an soita nouveaux 1.08 de hausse suplémentaire

comme quoi si on n'analyse pas les chiffres on se fait avoir certe la hausse est moins forte que dans d'autre pays mais on ne peu pas dire que l'ont n'est en baisse

Possible sortie de crise

Le jeudi 15 octobre la séance de vente des porcs charcutiers ne s’est pas tenue à Plérin. Cependant les négociations avancent (Lire ici l’article Ouest France de ce samedi) avec une participation active de cinq outils d’abattage, mais malheureusement sans la maison BIGARD. Les positions de tous les acteurs se rapprochent et laissent une sortie de crise d’ici à peu de temps.  François POT

16-10-2015 - Lettre ouverte à Phil Hogan - Olivier Allain Eleveur à Corlay et Président de la Chambre d’agriculture 22Allain Olivier - Président Chambre d' agriculture des Côtes d Armor-2015-10Olivier Allain, Eleveur à Corlay et Président de la Chambre d’agriculture des Côtes d Armor.Les propos tenus par Phil Hogan sur la crise de l’élevage me font bondir ainsi que tous les éleveurs qui ont pu les lire.Nous sommes malheureusement habitués aux frasques des commissaires européens. En effet, en 2009, Mariann Fisher Boel, pendant la crise laitière, considérait que les agriculteurs devaient exercer un second métier pour s’en sortir. Il est vrai qu’ils ne travaillent que 70 heures par semaine. En 2015, Phil Hogan récidive car il pense que « les éleveurs ne continueraient pas de produire s’ils produisaient en dessous de leur prix de revient », et que finalement tout va très bien ! Ce genre de propos irresponsables révèle leur méconnaissance totale du fonctionnement de nos entreprises. En effet, un éleveur ne vend pas ses animaux du jour au lendemain quand les prix s’effondrent au risque d’aggraver encore plus leur situation. D’autre part, l’agriculture européenne et française, en particulier, est composée de petites et moyennes exploitations qui pour faire face à la crise n’ont que deux solutions : s’endetter encore plus et réduire leurs prélèvements privés. Je suis un européen convaincu car il n’y a pas d’alternative pour développer notre agriculture et notre élevage en dehors de l’Europe. Alors que les éleveurs ne dégagent pas ou peu revenu, les émoluments de ce commissaire européen sont eux de 297 000 euros annuels. Les éleveurs attendent de lui de la compréhension, de la compassion et des décisions. Il faut remettre de la régulation au cœur des politiques publiques européennes. Aujourd’hui, la crise que vivent les producteurs de porcs, de bovins viande et de lait est sans précédent et destructrice de valeur. En conclusion, un peu de sérieux et de modestie Monsieur Phil Hogan ! Je serai content de vous recevoir en Bretagne sur une exploitation pour vous faire découvrir les réalités de l’élevage ! Olivier Allain, Eleveur à Corlay et Président de la Chambre d’agriculture 22Contact presseSylvie Conan 06.30.69.78.21 .]

savez vous combien vous cout votre groupement quant vous etre 100% fidèle ('cochette véto aliments gte gttt etc) au bas mots 150 euros par truie

pour en arrivé la

comment tu calcul ceci?

j'ai toute les preuvent de ce que j'avance mais je n'e peut en dire plus sans mettre  quelqu'un en danger désolé

après libre a vous de me croire ou me prendre pour un con vous savez quant on dit la vérité on n'a l'abitude d'etre pris pour un con voir pire

Viande et cancerStéphane Le Foll met en garde contre la « panique »

 26/10/2015 |  AFPParis, 26 oct 2015 (AFP) - Le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll a mis en garde lundi contre la « panique » après une étude de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) estimant que la consommation de charcuterie et de viande rouge favorise certains cancers. ARCH.« Je ne veux pas qu'un rapport comme celui-là mette encore plus la panique chez les gens », a déclaré le ministre lors d'une rencontre avec la presse. « Au delà d'un certain niveau deconsommation, on peut avoir un cancer. On le savait déjà. On peut et on doit consommer de la viandemais on doit le faire de manière raisonnable », a-t-il ajouté.Le ministre a plaidé pour la mise en place de recommandations sur la fréquence de consommation, plutôt que pour une interdiction totale.Alors que l'élevage bovin et porcin subit une profonde crise en France, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), l'agence cancer de l'OMS, a classé lundi la viande transformée, essentiellement la charcuterie, dans la catégorie des agents « cancérogènes pour l'homme », tandis que la viande rouge et le porc ont été classés comme « probablement cancérogènes ».Parmi les cancers les plus fréquemment associés à la viande figure le cancer colorectal et dans une moindre mesure les cancers de la prostate et du pancréas, selon les auteurs de l'étude.La consommation de viande recule régulièrement en France depuis la fin des années 1990. Elle a baissé de 4 % entre 2004 et 2014, avec une stabilisation sur la fin de la période, selon l'établissement public FranceAgriMer.La viande de porc est la viande la plus consommée en France (32,5 kilos/habitant en 2014), suivie de la volaille (26 kilos) et de la viande bovine (24 kilos).

Crise de l'élevageStéphane Le Foll rappelle à l'ordre le groupe Bigard

 28/10/2015 |  AFPParis, 28 oct 2015 (AFP) - Le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll a indiqué mercredi qu'il allait recevoir le patron du numéro un des viandes en France, le groupe Bigard, pour lui « rappeler que l'intérêt d'une grande entreprise comme Bigard ne peut pas se confondre avec l'intérêt de la filière ». ARCH.Jean-Paul Bigard, dont le groupe détient 40 % du marché de la viande en France avec notamment les marques Bigard, Charal et Socopa, et qui est aussi le président du Syndicat national des industries des viandes (Sniv), n'était pas présent mardi à la réunion au cours de laquelle le ministre a proposé aux acteurs de la filière de la viande bovine de travailler sur un projet de contractualisation pour éviter la volatilité des prix. M. Bigard « a jusqu'ici considéré que ce n'était pas collectivement qu'il fallait négocier tout cela, qu'il était capable de négocier tout seul », a indiqué Stéphane Le Foll sur RTL. Il va le recevoir séparément.« Lorsqu'on gère l'intérêt de l'ensemble de la filière, on traitera aussi les intérêts des différentes entreprises », a-t-il souligné. Mais « on ne peut pas inverser la logique », qui « nécessite une négociation collective ».Le groupe Bigard, comme son concurrent Cooperl, ont déjà été des « acteurs désagréables de la situation de remise en cause de ce qui avait été l'accord sur la revalorisation du prix du porc », a regretté Stéphane Le Foll. Bigard et la coopérative Cooperl ont décidé en août de se retirer du marché du porc breton de Plérin (Côtes-d'Armor), dont ils étaient deux des plus gros acheteurs, afin d'acheter leurs porcs directement aux producteurs.Le 17 juin, les professionnels de la filière bovine s'étaient accordés sur une revalorisation progressive du prix payé aux producteurs, pour leur permettre de couvrir leurs coûts de revient, lors d'une table ronde au ministère de l'agriculture. Mais l'objectif fixé, une augmentation de 5 centimes par kilo et par semaine, a été difficile à atteindre.

Demander à n'importe qui si il ne se mefierai pas avant de faire des affaires avec les Russes.Sans etre un expert en commerce à l'export,n'importe qui serait prudent et n'irai pas faire courrir des risques financiers lourds à son entreprise.On peut perdre un marché sans mettre en peril toute une société.On gere,on calcule,on anticipe.Nous faisons ça tous les jours dans nos élevages.

Les politiques ont l'ENA.Nous,nous avons les ecoles superieure d'agriculture.Toute une generation d'ingénieurs qui c'est emparé de nos groupement et coops et qui gouvernent comme des oligarques.Ils ont bradé notre génétique,vendu notre technicité,soldé nos porcs sur des marchés imprevisibles.Pour quel resultat?Les producteurs s'endettent.Depuis qu'ils ont pris le pouvoir ils nous eloignent des decisions.Aujourd'hui aux commandes,ils isolent et marginalisent l'eleveur et lui disent qu'il doit travailler sans salaire.Combien gagnent ils?Ils ne reconnaissent jamais leurs erreurs.Nos administrateurs doivent admettre qu'ils ont confiés les coops à de tres mauvais gestionnaires tres bien payés.On se prend à rever de les voir escalader un grillage en chemise dechirée!

marché alemand - 4 centimes

La production mondiale de viande de porc demeurera stable en 2016
22-Oct-2015 (il y a 6 jours)

Vendredi 9 octobre 2015/ FAS-USDA/ Etats-Unis.
http://apps.fas.usda.gov
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Selon le rapport biennal du FAS (USDA), "Bétail et Volaille : Commerce et Marchés Mondiaux", la production mondiale de viande de porc en 2016 devrait demeurer aux alentours de 112 millions de tonnes, avec des hausses marginales dans la plupart des pays.

Après 3 années de baisse consécutives, l'effectif chinois devrait se stabiliser en 2016, avec des coûts de l'aliment plus faibles et des prix du porc plus élevés induisant une légère reprise de l'effectif de truies reproductrices et une efficacité supérieure (nomnbre de porcelets par truie plus élevé). Cependant, la production de viande de porc en Chine se mantiendra au même niveau, avec moins d'abattages mais à des poids plus élevés. La production en Russie devrait être plus importante suite à une plus grande capacité d'investissement, à la consolidation de l'industrie, à des prix stables des aliments et à une plus forte demande interne.

En ce qui concerne les exportations, elles devraient être de 2% supérieures dans les pays les plus importants, avec près de 7,3 millions de tonnes et une offre plus importante qui donnera lieu à des prix plus bas, stimulant la consommation. Les hausses marginales des achats de la plupart des grands importateurs compenseraient une nouvelle chute des importations de la Russie. Parmi les fournisseurs clef, seuls les Etats-Unis connaîtra une augmentation significative des exportations.

La production des Etats-Unis devrait augmenter de 1%, pour atteindre le chiffre record de 11,3 millions de tonnes, grâce à la forte recupération suivant les cas de DEP. Les exportations devraient augmenter de plus de 4%, atteignant 2,4 millions de tonnes, grâce à des prix compétitifs qui renforceront les envois vers la plupart des marchés, en particulier vers le Mexique.
 

trop tard ?

Web-agri : Comment réagissez-vous à l’absence du groupe Bigard au comité de suivi ? Que souhaitez-vous dire à son président Jean-Paul Bigard ?Jean-Pierre Fleury : Je respecte le groupe Bigard, mais l’attitude de son président est méprisante ! Je n’ai rien à lui dire. C’est lui qui doit s’expliquer ! Il se cache derrière Culture Viande (nouveau nom du Sniv, ndlr) pour défendre sa marque et ses marges et use de sa position de numéro un pour demander à être reçu seul par le ministre. Autant de signes qui montrent que ses intérêts particuliers l’emportent sur l’intérêt général. Mais la relation entre producteurs et consommateurs restera plus forte que les marques d’un groupe qui ne respecte pas les éleveurs et les acteurs de la filière.Web-agri : La FNB indique que « les éleveurs ne cèderont pas ». Cela signifie-t-il que des actions syndicales sont à prévoir ?Des manif' dès la semaine prochaineLors d'une réunion interne organisée mercredi soir 28 octobre, la FNB a décidé de mener des « actions syndicales ciblées » « courant de semaine prochaine », indique Eric Chapelle, directeur général adjoint de la FNB, au lendemain de cette réunion. « Ces actions sont en cours de construction. »Jean-Pierre Fleury : Nous ne pouvons pas rester sans réagir face à ce comportement insupportable. Des actions ciblées sont en train d’être définies. Les consommateurs doivent savoir que ce groupe Bigard ne respecte pas les producteurs.