suicide économique à la cooperl

Pour répondre à Esteban, je n'ai pas assez de recul pour répondre à l'ensemble des critères puisque je commerciale mes porcs castrés que depuis avril 2016.

Je n'ai pas quiité totalement la famille Cooperl mais ai repris mon indépendance pour pouvoir choisir mes partenaires : aliments, vétos,...

J'ai subi comme tous les éleveurs Cooperl des retards d'enlevement suite au mouvement social.

Il est plus facile de le faire avec des mâles castrés.

Je change également de génétique.

Je clos une GTE au 31.08 ce qui permettra de faire le point.

Mais de toute évidence, je me sens plus libre et je vis moins dans la psychose COOPERL qui consiste à faire croire aux éleveurs que seuls les éleveurs Cooperl seront là demain.

Nous avons besoin de tous les systèmes. Depuis deux ans, je ne me retrouvais plus en phase avec la politique Cooperl avec des frais de groupement piqués aux éleveurs, des services facturés aux éleveurs et des ristournes capitalisées (inexistantes cette année). Les éleveurs sont les vaches à lait des dirigeants qui mènent des investissements tout azimut plutôt que rester sur leur métier de base.

Je préfère prendre du recul face à cela et je pense comme etabliere que la direction doit changer.

Je ne crache pas sur le système COOPERL qui était à l'origine bon pour l'éleveur mais il faut rester sur SON métier pour rester Bon à savoir trouver les meilleurs débouchés pour que les éleveurs puissent VIVRE de leur métier

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