Nouvelles - Nutrition

Une diversification accrue de la production dans l'UE nécessite des terres agricoles disponibles adaptées aux cultures requises.

L'étude évalue l'état actuel et les perspectives d'avenir de la production de protéines, en mettant l'accent sur les sources de protéines conventionnelles et alternatives pour l'alimentation humaine et animale.

Au 1er trimestre 2024, hausse de la production et forte baisse du prix des aliments pour animaux sur un an.

Des assolements en faveur des cultures de printemps, à l’exception du soja

Les fortes pluies dans le Rio Grande do Sul auront un impact négatif sur le résultat final du cycle actuel.

Pour le maïs, la production mondiale devrait être plus faible en raison de la diminution de la récolte américaine, et les exportations devraient baisser au Brésil, en Argentine et en Ukraine. En revanche, les perspectives pour la nouvelle récolte de soja sont très bonnes, avec des hausses significatives de la production, des échanges internationaux et des stocks de fin de campagne.

La production d'aliments pour porcs a chuté de près de 7 % en raison des mauvaises conditions du marché et de l'incertitude liée à la politique de l'azote.

Selon Cepea, le bon niveau des exportations reflète les négociations des contrats à durée déterminée, qui ont eu lieu en 2023.

Ce volume représente une baisse de 7,6 % par rapport au résultat obtenu lors du cycle précédent, soit une récolte inférieure de 24,2 millions de tonnes.

Par rapport à celles présentées en février, les estimations de la production mondiale de maïs ont baissé de 2,3 millions de tonnes, alors que les chiffres du commerce international prévoient un volume d'exportations plus élevé pour les États-Unis, qui deviendraient ainsi le principal fournisseur de cette culture au niveau mondial. En ce qui concerne le soja, l'estimation de la récolte brésilienne a de nouveau été revue à la baisse, malgré des prévisions d'exportation à la hausse.

Comparé au rapport de janvier, la production mondiale de maïs a été estimée inchangée, tandis que les chiffres du commerce international prévoient une baisse des exportations pour le Brésil et une diminution des importations en provenance de l'Union européenne. En ce qui concerne le soja, les prévisions relatives à la production brésilienne ont été revues à la baisse et les estimations en matière d'exportations ont été revues à la hausse, ce qui devrait contrebalancer la baisse des prévisions relatives aux expéditions des États-Unis.

La Commission européenne permet aux États membres de déroger à l’obligation de maintenir des jachères sur les terres arables pour la campagne Politique Agricole Commune (PAC) 2024.

La Commission propose d'autoriser les agriculteurs de l'UE à déroger à certaines règles agricoles pendant un an

La Commission a proposé de reconduire d'une année supplémentaire la suspension des droits à l'importation et des contingents sur les exportations ukrainiennes vers l'UE, tout en renforçant la protection des produits agricoles sensibles de l'UE.

Pour rendre notre système alimentaire plus durable et résilient, les députés soutiennent de nouvelles règles applicables à certains végétaux NGT seulement.

En comparaison avec le rapport de décembre, les estimations de la production mondiale de maïs ont été revues à la hausse et les projections de la production brésilienne de soja ont été à nouveau réduites, tandis que celles de l'Argentine et des États-Unis ont été revues à la hausse, ce qui a permis de maintenir intacte l'estimation globale de la récolte de l'oléagineux.

Si les prévisions se confirment, le volume représente une baisse de 13,5 millions de tonnes par rapport à 2022/23.

Dans le Paraná (Brésil), la superficie de cette année est inférieure de 18 % à celle de la saison dernière, la première récolte ayant alors couvert 379 100 hectares.

Forte rétractation des vendeurs, qui restent préoccupés par les conditions météorologiques et l'impact possible sur l'offre dans les mois à venir.

En comparaison avec le rapport de novembre, les estimations relatives à la production et au commerce mondiaux de maïs ont été légèrement revues à la hausse, tandis que les prévisions concernant la récolte de soja brésilienne ont été revues à la baisse.

En 2023, le secteur de l'alimentation porcine a été le plus gravement touché, avec une nouvelle baisse de près de 2,5 millions de tonnes.

Le Centre commun de recherche de la Commission renouvelle sa collaboration avec l'Institut national de recherche français au profit de l'agriculture et des systèmes alimentaires durables

Par rapport au rapport d'octobre dernier, les estimations relatives à la production et aux exportations mondiales de maïs ont été revues à la hausse, une récolte plus importante étant attendue aux États-Unis. Pour le soja, une légère hausse de la production mondiale et une baisse des stocks de fin de campagne sont prévues.

La production de soja pâtit de la sécheresse historique et la trituration atteint son niveau le plus bas depuis 18 ans, rendant l'Argentine tributaire des importations.