Nouvelles - Nutrition

Les États-Unis représentent plus des deux tiers des graines de soja importées par l’Union européenne.

La réunion a notamment évalué l’état d’avancement des analyses comparatives de Soja Plus effectuées par le CCI (Centre du Commerce International).

Les ministres de l'UE ont adopté une nouvelle législation sur les médicaments vétérinaires et les aliments médicamenteux, représentant une avancée majeure dans la lutte contre la résistance aux antimicrobiens.

Le rapport pointe l'existence d'un potentiel de croissance pour les protéines végétales de l'UE dans les secteurs des aliments pour animaux de qualité supérieure et des denrées alimentaires, en raison de la demande des consommateurs.

Tangrenshen, l'un des principaux fabricants d'aliments pour animaux, a confirmé la présence de PPA dans un lot.

La FAO a également revu à la hausse ses prévisions concernant la production céréalière mondiale pour 2018 pour lui faire atteindre les 2 601 millions de tonnes, en raison d'estimations plus élevées concernant la production de blé au Canada et en Chine. Néanmoins, les nouvelles prévisions demeurent 2,1 pour cent en dessous du niveau record atteint en 2017.

Les prix mondiaux des produits alimentaires ont chuté en octobre pour atteindre leur plus bas niveau depuis mai, alors que la baisse du prix des produits laitiers, de la viande et des huiles végétales ont largement compensé la hausse des prix du sucre.

La sécheresse de cet été a entraîné une chute importante de la production céréalière totale de l’UE, estimée de 8% inférieure à la moyenne des cinq dernières années.

Les États-Unis sont désormais le principal fournisseur de graines de soja de l'UE, avec une part de marché de 52 %.

Par rapport à juillet 2017, les importations européennes de graines de soja en provenance des États-Unis sont actuellement en hausse de 283 %, à 360 000 tonnes.

Une moisson 2018 estimée stable pour les orges, en repli pour le blé tendre et en recul prononcé pour le blé dur et le colza.

En raison de la sécheresse à la fin du printemps dans différentes régions d'Europe, la production céréalière de l'UE est estimée inférieure à la moyenne pour 2018/2019.

Le Copa et Cogeca ont publié aujourd'hui de nouvelles estimations pour la récolte céréalière de l'UE de cette année et prévoient une baisse de 6 % de la production céréalière et oléagineuse de l'UE, en raison de conditions climatiques extrêmes.

Un prêt de 50 millions d’euros financera les activités de recherche et développement du groupe breton dans la Nutrition Animale et Végétale

L'évolution nationale de la production d'aliments pour porcs redevient positive, après un léger recul en 2016.

Mardi, les nouvelles règles sur des moyens plus responsables de produire, de vendre et d'utiliser des aliments médicamenteux pour animaux pour faire face à la propagation de la résistance aux antimicrobiens ont été convenues de manière informelle avec les négociateurs du Conseil.

La CE a demandé à l'EFSA un avis sur le risque pour la santé animale des fumonisines et de leurs formes modifiées et cachées dans les aliments pour animaux.

Les ventes totales ont augmenté pour les trois principales catégories d'animaux d'abattage (bovins, porcins et volailles).

Les données fournies par le ministère de l'Agriculture russe montrent que les exportations de blé ont augmenté de près de 50% au cours de cette campagne, ce qui permet au pays de rester le premier exportateur mondial.

Le Comité permanent pour les Végétaux, les Animaux, les Denrées Alimentaires et Aliments pour Animaux a accepté des limites maximales autorisées (MPL) révisées.

Selon le Bulletin de la FAO sur l'offre et la demande de céréales également publié aujourd'hui, les premières perspectives pour les marchés céréaliers mondiaux pour l'année à venir sont favorables, malgré des prévisions faisant état d'un déclin.

Action de l'UE contre le gaspillage alimentaire : la Commission publie un guide visant à faciliter la valorisation des denrées alimentaires n'étant plus destinées à la consommation humaine en tant qu'aliments pour animaux.

Son entrée en vigueur le 1er janvier 2019 aurait contribué à la détérioration de la compétitivité en production animale.