Situation inchangée en Europe
La caractéristique commune à tous les marchés en Europe en ce début du mois d’août, est la faiblesse des offres.
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Stabilité générale excepté en France
L'extrême pression rencontrée sur les marchés les semaines précédentes a, à présent, disparu et la stabilité des cours s’est généralisée sur l’ensemble des marchés du Nord de l’Europe : Danemark, Belgique, Autriche …
Effondrement du cours en Allemagne
Le cours allemand s’effondre sous l’effet conjugué d’une demande intérieure et extérieure particulièrement faible.
Pression du marché de la viande
Les commandes de viande de porc se sont réduites, les marges des abattoirs s’érodent.
Poids en forte baisse
La caractéristique commune à tous les grands marchés porcins européens est la baisse significative des poids moyens carcasse.
Des marchés de transition
Toutes les cotations du Nord ont été stables. Dans le sud de l’Europe, l’Espagne fait figure d’exception.
La semaine précédant la Pentecôte avait été prometteuse
L’activité de la semaine de la Pentecôte a, quant à elle, été moyenne avec 309 918 porcs abattus.
Entre stabilité et fermeté
Tous les marchés européens se sont positionnés entre stabilité et fermeté du prix, portés par une bonne demande de produits de saison sur les marchés intérieurs et un début de mois favorable aux achats des ménages.
L’Ascension du prix du porc
La fabrication des produits de saucisserie en tous genres a fonctionné à plein dès le milieu de la semaine pour répondre enfin à une demande que l’on espérait depuis le début du mois.
Des orientations de prix différentes
Des orientations de prix différentes malgré des offres faibles partout.
Signes d’orientation positive
Si c’est la stabilité des cours qui a prévalu cette semaine sur les grandes places de cotations européennes, quelques signes prometteurs laissent augurer d’une prochaine orientation positive des cours, avec une caractéristique commune à tous les marchés : des offres faibles bien en‐dessous des niveaux de l’an passé.
Coup de froid sur le prix du porc
En France, le mois de mai et ses longs week‐ends fériés peuvent être synonymes, certes d’activité réduite, mais aussi de bonne demande avec l’ouverture de la saison des barbecues ou alors tourner en désastre météorologique avec une demande qui s’éteint comme un pétard mouillé comme c’est le cas cette année.
Des orientations de prix divergentes
Les marchés européens ont des orientations divergentes : hausse des cours dans le nord de l’Europe et en Italie, stabilité en Espagne et baisse du prix en France.
Marchés équilibrés
La réduction d’activité durant cette semaines Sainte n’a pas réellement entamé la fluidité observée depuis le début d’année, elle a surtout contribué à rétablir un équilibre du rapport offre / demande dans un contexte de baisse de production en Europe.
Trêve Pascale
La trêve Pascale va offrir un répit aux abattoirs dans la quête de leur approvisionnement sans pour autant remettre en question la fluidité tant les disponibilités futures sont annoncées encore plus réduites.
Hausse générale des cours en Europe !
C’est enfin une hausse générale des cours qui s’est produite en Europe provoquée par un regain de la demande de viande sur les marchés intérieurs et à l’export.