Peu de changement
Le mois de mai se termine sur des cours stables dans le nord de l’Europe, car malgré la faiblesse des offres, les ventes sur les marchés intérieurs sont insuffisantes et le férié de l’Ascension équilibre les rapports offre/demande.
Le mois de mai se termine sur des cours stables dans le nord de l’Europe, car malgré la faiblesse des offres, les ventes sur les marchés intérieurs sont insuffisantes et le férié de l’Ascension équilibre les rapports offre/demande.
A la veille d’une semaine qui sera fériée dans certains pays du nord de l’Europe (Allemagne, Belgique, Autriche, Danemark, Pays-Bas) ainsi qu’en France, la stabilité des cours a été généralement de mise en fin de semaine, entre des offres assez faibles et un commerce intérieur qui peine encore à se dynamiser.
De nouvelles hausses de prix ont été enregistrées en fin de semaine dernière dans de nombreux pays européens.
La série des 3 semaines successives à jour férié est à présent terminée et les prix du porc sont à nouveau en hausse dans de nombreux pays européens.
La semaine du 1er mai conclût, pour bon nombre de pays européens, une série de 3 semaines consécutives de fériés qui a eu pour conséquence de rétablir un équilibre entre des offres peu abondantes et une demande plus calme en raison de la perte des jours d’activité.
Le prix du porc a augmenté de 32% en Espagne en douze semaines. L'exportation vers la Chine et l'ouverture d'un nouvel abattoir ne laissent penser qu'à plus de hausses.
Durant cette période de réduction d’activité, les marchés sont à l’équilibre entre une offre peu abondante et un commerce toujours dynamique, à l’intérieur comme à l’export.
Le commerce porcin européen est entré, dès la semaine Pascale, dans une période de 3 semaines successives à jour férié. Cependant, en raison d’une demande soutenue, tant à l’export que sur les marchés intérieurs, la fluidité ne devrait pas être remise en cause durant cette période.
Après plusieurs semaines de hausses de prix record, les marchés vont s’accorder une pause.
La situation actuelle en Chine présente de nombreuses similitudes avec l'ancienne époque cyclique de la liquidation des élevages.
La hausse de la viande est si intense et si importante que l’industrie de transformation devra faire un effort supplémentaire et faire passer dans les meilleurs délais les augmentations au produit final.
Le mouvement général de hausse enclenché la semaine précédente en Europe s’est amplifié cette dernière semaine avec un signal allemand sans ambiguïté : + 7 cents.
La hausse du cours, tant attendue en Allemagne et ailleurs, a été obtenue malgré une certaine résistance de la part de quelques grands abattoirs nationaux.
L’attente des éleveurs allemands a encore été déçue à la suite de la nouvelle reconduction de la référence allemande mercredi dernier.
La dernière semaine de février aura apporté peu de changement dans l’orientation des cours sur la majorité des places de cotation, en particulier au Nord de l’Europe.