Équilibre en filigrane
Les abattoirs connaîtront un été très difficile ; au manque naturel de porcs s'ajoutera l'absence de porcelets victimes du SDRP. Tôt ou tard, les abattages ne seront plus possibles que quatre jours par semaine.
Les abattoirs connaîtront un été très difficile ; au manque naturel de porcs s'ajoutera l'absence de porcelets victimes du SDRP. Tôt ou tard, les abattages ne seront plus possibles que quatre jours par semaine.
Les utilisateurs européens et américains sont optimistes et prévoient des prix encore plus élevés que les niveaux actuels, alors qu'en Asie les prévisions sont à la baisse.
Durant cette dernière semaine qui a succédé à la semaine Pascale, les principales cotations européennes ont évolué de façon diverse entre hausse au Danemark, stabilité en Allemagne, Autriche, Espagne et baisse en France.
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A la sortie des fériés de Pâques, les cours du porc sont globalement stables en Europe alors que les offres demeurent faibles mais que le commerce peine à se dynamiser en raison de l’inflation et de conditions météo peu favorables à la consommation des produits de printemps.
En Europe, malgré des offres restreintes qui conduisent à des augmentations des prix du porc et malgré une demande qui se dynamise à l’approche de Pâques, notamment en provenance de l’Europe de l’Est et centrale, il existe partout de grandes difficultés à mettre en œuvre ces hausses sur le marché de la viande.
Le taux d'autosuffisance de la production porcine dans l'UE aura tendance à diminuer, se rapprochant de 110 % au lieu de 125 % jusqu'à récemment. Burset fait le point sur la situation dans les pays principaux.
Les préparatifs des fêtes de Pâques stimulent le commerce et permettent aux marchés de l’offre du nord de l’Europe de sortir enfin de leur léthargie après un mois de cours systématiquement reconduits.
La situation des prix sur le marché du porc en Europe se caractérise par la poursuite de la stabilité dans le nord tandis qu’au sud, où les cours ont haussé sans interruption depuis le début de l’année, un ralentissement semble se dessiner.
Les tendances de prix observées ces dernières semaines sur les marchés du porc en Europe ont été reconduites la semaine passée dans un même contexte d’offre peu élevée et de demande atone. C’est ainsi que dans le nord de l’Europe, les cours sont restés majoritairement stables.
Peu de changement concernant les tendances de prix du porc par rapport à la semaine précédente : dans le nord de l’Europe les cours ont été reconduits tandis qu’en Espagne, en Italie et en France, les hausses s’enchaînent semaine après semaine.
Nous assistons à une reconversion de la filière Le prix du porc n'a jamais été aussi élevé depuis plusieurs années et maintenant le prix de la viande pour les industriels augmente également, mais les grands distributeurs ne sont prêts à augmenter les prix qu'au compte-gouttes.
Les tendances de prix sur les marchés de l’offre en Europe ont suivi des chemins différents la semaine passée. Malgré la baisse de l’offre constatée partout, certaines places du nord de l’Europe ont stabilisé leur prix après avoir enregistré des augmentations assez significatives en peu de temps.
En février dernier, nous avons demandé à nos utilisateurs ce qu'ils pensaient du prix moyen du porc dans leurs pays respectifs en 2022. Voulez-vous savoir qui s'en est le plus rapproché ?
Les tendances sur les marchés du porc vivant sont résolument à la hausse avec des prix qui battent chaque semaine de nouveaux records.
Les hausses enregistrées au début du mois de février sur les marchés de l’offre en Europe du Nord se sont confirmées la semaine dernière. Ces hausses interviennent dans un contexte de production en très forte baisse qui peine à répondre à la demande minimum des abattoirs, nécessaire à la rentabilité de leurs outils. Par ailleurs, la demande, sans être exceptionnelle, s’améliore progressivement en ce début de mois.
Une légère amélioration de la demande déclenche les premières hausses du prix du porc dans le Nord de l’Europe, là où la baisse de production est particulièrement marquée.