Page 8 sur Articles sur Coûts en Nouvelles

En 2016, 111 millions d’euros seront consacrés à des programmes destinés à aider les producteurs européens à trouver de nouveaux marchés et à promouvoir la consommation à l'extérieur et à l'intérieur de l’Union européenne.

Après délibération et vote du Conseil d’Administration, la coopérative se voit contrainte de payer les animaux vivants de ses adhérents sur la base d’un prix d’acompte tenant compte de la réalité du marché.

Daniel Picart, président du marché du porc breton, a quitté son poste ce jeudi. La cotation du jour a été annulée et reportée à une date ultérieure.

Afin de créer une dynamique pour développer la contractualisation dans la filière porcine Stéphane Le Foll met à disposition des acteurs un document de travail sur le site du ministère.

Le groupe décide de pratiquer un prix de marché libre. Cette décision est lourdement condamné par les éleveurs porcins.

De nombreux députés ont appelé à de nouvelles mesures sur le marché pour lutter contre la volatilité des prix et aider davantage les agriculteurs à trouver de nouveaux débouchés étrangers.

En particulier, pour la viande de porc le prix de l'aide au stockage privé est augmenté de 20 % et le dispositif est élargi au lard.

Copa et Cogeca avertissent la Commission Européenne que l'ensemble d'aides est loin d'être suffisant pour améliorer la drastique situation touchant les marchés agricoles européens causée principalement par la crise russe.

La décision du gouvernement roumain de baisser l'IVA pour la viande et produits dérivés de 24% à 9% a entraîné une augmentation de la vente de viande.

L'une des mesures est la réouverture du stockage privé de viande de porc.

Valls a annoncé des nouvelles mesures d'aides financières à court terme, et d'aides supplémentaires à l'investissement.

Les partenaires de la Concertation de la chaîne se sont engagés à prévoir un montant de 30 millions d’euros pour les exploitations de porcs.

La réunion a permis de discuter des différentes possibilités de contrats (éleveurs/abatteurs, éleveurs/abatteurs/salaisonniers, éleveurs/fournisseurs d’aliments…), intégrant des volumes, des prix et des durées.

Les ministres ont écrit aux Préfets pour leur demander de veiller à ce que les services de restauration de l’Etat soient attentifs à la mise en œuvre de cette priorité.

Les Ministres ont insisté sur une intensification de la mobilisation et des efforts des partenaires financiers en faveur d’une restructuration des dettes à court, moyen et long terme pour les éleveurs en difficulté.

Les mobilisations intervient alors que le gouvernement continue de se mobiliser.