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Au cours des dix premiers mois de l’année, la Chine a importé 89,936 millions de tonnes de soja.

Entre janvier et septembre de cette année, les importations chinoises de porc et d'abats ont diminué de 21 %.

La production de viande porcine de l'UE se redresse dans certains pays de l'UE, ce qui indique une tendance mitigée pour le secteur. Une baisse de la demande de la Chine pourrait ralentir les exportations de l'UE en 2024 et 2025.

Par rapport à celui de septembre, les exportations de maïs américain ont été révisées à la hausse et les importations de maïs par la Chine ont de nouveau été réduites. En ce qui concerne le soja, les chiffres sont restés presque inchangés, reflétant une récolte abondante et une augmentation des stocks finaux.

Ces mesures contribueront à empêcher l’entrée de la PPA par-delà la frontière, protégeant ainsi le secteur porcin, qui représente plus de 8 milliards de livres sterling pour l’économie britannique.

Si la croissance actuelle se maintient jusqu'à la fin de l'année, les importations pourraient dépasser les 2 millions de porcelets néerlandais.

Les abattages de porcs en France progressent de 1,2 % en 2024, malgré une réduction continue du cheptel, grâce à des gains de productivité dans les élevages.

Le commerce agroalimentaire de l’UE s’avère solide, avec un excédent atteignant 33,7 milliards d’euros entre janvier et juin 2024.

Le cheptel porcin canadien devrait rester relativement stable en 2025. Les abattages devraient être supérieurs d’un pour cent à ceux de 2024.

Selon l'AHDB, l'augmentation du nombre d'abattages et du poids des carcasses a favorisé la production dans les principaux pays producteurs.

La production de porc devrait diminuer en 2025 en raison de la faible demande et d'un stock réduit de porcs prêts pour l'abattage.

Au cours du premier semestre de cette année, les importations chinoises de viande et d'abats ont diminué de 28 %.