Page 15 sur Articles sur Installations - équipement

L'utilisation d'un système simple avec du plastique transparent et du ruban adhésif pour éviter que de l'air non filtré n'entre dans les exploitations de haute biosécurité peut servir en même temps de méthode pour prévenir le mouvement de personnel entre les zones de biosécurité différentes dans tout type de fermes.

Dans ce nouveau chapitre, nous allons présenter 2 nouvelles options : avec un couloir devant et un autre derrière ou bien parallèle au couloir

L'installation de barrières physiques à des points stratégiques d'entrée de personnel aide à définir des zones de biosécurité différentes dans l'exploitation. Cette méthode est commune dans les fermes où il n'y a pas de séparation claire entre les zones de niveaux différents de biosécurité. 

Quelle est la meilleure solution ? Face ou dos au couloir ? Avantages et inconvénients des différentes alternatives.

Une série de mesures sans résultat ont été prises avant d'éliminer finalement le problème.

La température, l'humidité et la ventilation, en plus d'être des paramètres-clef, sont intimement liées

Cet article résume les points principaux pour combattre le stress thermique de nos animaux.

La façon la plus directe de diminuer la concentration d'agents infectieux dans l'air est de diminuer la concentration de poussière. Dans cet article, l'utilisation d'un système d'ionisation de particules dénommé EPI est présentée.

Ce type d’investissement pourrait ne pas être exagéré quand il s’agit de protéger les élevages à haute valeur génétique (desquels d’autres dépendent) ou les centres d’insémination.

Etre capable de Maîtriser l’ambiance est essentiel pour obtenir de bons résultats de production

Comment peut-on dire qu’un transporteur est propre en jetant seulement un coup d’œil ?

La conduite des conditions d’ambiances pour éliminer la chaleur est une nécessité grandissante, particulièrement quand les cases se trouvent chaque fois plus pleines à cause des poids de vente plus élevés.

De 1997 jusqu’à 2013, le poids à l'abattage des porcs sevrés et des femelles a augmenté en moyenne de 0,6 kg par an.