Articles sur Marchés - économie

En 2024, les exportations françaises de viande de porc ont légèrement rebondi, avec la Chine comme principal débouché et la viande congelée comme produit clé.

Les prévisions pour la nouvelle récolte mondiale de maïs sont très positives, portées principalement par l’augmentation de la production aux États-Unis. Par ailleurs, une bonne dynamique est attendue dans le commerce international du grain, bien qu’elle s’accompagne d’une réduction des stocks de fin de campagne. S’agissant du soja, une hausse significative de la production et des exportations du Brésil est prévue, ce qui contribuerait à dynamiser les échanges internationaux de cette oléagineuse.

Les États-Unis vont réduire temporairement les droits de douane sur les importations chinoises, et la Chine s’est engagée à diminuer les droits de représailles.

Les exportations porcines de l'UE se stabilisent en 2024 à 4,21 Mt, bien en dessous du record de 2020, marquées par la reprise chinoise et des changements dans les destinations.

Le Parlement européen rejette la proposition de fonds unique et demande une augmentation du budget de la PAC.

Le Département de l’Agriculture des États-Unis (USDA) prévoit que les exportations brésiliennes de viande de porc augmenteront de 5 % en 2025.

Après la mise en œuvre des nouvelles bandes de taux de change, le soja gagne du terrain sur les marchés, tandis que les céréales restent prudentes.

L’interdiction temporaire d’importer des produits porcins transformés de Corée du Sud a été levée après une évaluation complète du risque lié à la PPA.

La production de blé, de maïs, d’orge et d’avoine devrait augmenter d’une année sur l’autre au cours de la campagne de commercialisation 2025/26.

Les cours internationaux de la viande ont augmenté dans toutes les catégories, les prix de la viande de porc enregistrant la hausse la plus significative.

L’augmentation mensuelle reflète la hausse des prix de toutes les principales céréales.

La récolte de soja progresse avec des rendements surprenants dans la région noyau : le soja de première récolte atteint en moyenne 4,1 t/ha et celui de deuxième récolte 3,3 t/ha.

La Flandre comptera un peu plus de quatre millions de places pour porcs charcutiers en 2024, soit une diminution de 270 000 par rapport à l’année dernière.

Copa-Cogeca craint que la fusion des fonds de la PAC menace la sécurité alimentaire, la durabilité et la stabilité des zones rurales.