La tendance baissière s’étend sur toute l’Europe
La forte tendance baissière apparue en Europe du Nord s’est étendue plus largement la semaine dernière sur l’ensemble de l’Europe.
La forte tendance baissière apparue en Europe du Nord s’est étendue plus largement la semaine dernière sur l’ensemble de l’Europe.
Pour la première fois en 20 ans, la cotation espagnole a baissé en juin. Nous sommes dans une situation extrêmement exceptionnelle qui devra être corrigée le plus rapidement possible.
Le récent repli des achats chinois a provoqué un retour des grands exportateurs européens.
Comment les politiques liées à l'environnement et au bien-être animal influenceront-elles le secteur porcin ? Nous présentons un résumé des facteurs potentiellement limitants de la production.
Malgré la faiblesse actuelle des offres de porcs en Europe, l’insuffisance de la demande ne permet malheureusement pas d’actionner des hausses significatives de prix.
Pour garantir une utilisation rationnelle des ingrédients alimentaires, nous devons évaluer le coût de production d'un kg de viande de porc ainsi que la valeur fonctionnelle des matières premières et des additifs.
La reprise semble longue à venir alors que les éleveurs espèrent de meilleurs cours pour compenser la hausse constante des coûts de production, devenus très élevés.
Malgré la levée progressive des restrictions et des températures plus conformes à un printemps, la demande reste encore insuffisante.
Le déficit en porcelets de l’Allemagne pourrait se creuser de 6,3 millions de têtes pour atteindre près de 17 millions de têtes en 2025.
Le prix de la viande de porc en Espagne est le plus cher d'Europe et Burset estime qu'il est très proche de la limite supérieure. La Chine diminue ses importations, achète moins cher et, par conséquent, est absente de notre marché.
Un regain de demande lié à l’assouplissement progressif des restrictions, associé à la faiblesse des offres ont conduit à des hausses de cours du porc dans un grand nombre de pays en Europe cette semaine.
Reprise timide au nord de l’Europe, situation très incertaine en Belgique, hausse de prix porcs en Espagne, léger mieux sur le marché italien et prix moyen de base aux Etats‐Unis qui continue sa progression.
La grande inertie des cours du porc en Europe du Nord conditionne actuellement l’évolution de la plupart des autres marchés en Europe à la veille d’une semaine dont l’activité sera réduite en raison du jeudi de l’Ascension.
Marché du porc : en pleine expansion en Espagne, non concentré en Europe et avec des interrogations en Chine. Marché de la viande de porc : au plus bas en Europe.
Les marchés européens du porc vivant continuent d’évoluer au gré de leur situation particulière : en Allemagne, après la chute la semaine précédente, le marché paraît s’équilibrer, en France une nouvelle hausse maximum a été enregistrée le lundi...
Alors que pour l'Europe des prix inférieurs sont prévus par rapport à ceux des deux années précédentes, les utilisateurs américains prévoient des prix plus élevés tandis que pour la Chine, les prévisions restent entre celles de 2019 et 2020.