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Les marchés européens ont des orientations divergentes : hausse des cours dans le nord de l’Europe et en Italie, stabilité en Espagne et baisse du prix en France.

La réduction d’activité durant cette semaines Sainte n’a pas réellement entamé la fluidité observée depuis le début d’année, elle a surtout contribué à rétablir un équilibre du rapport offre / demande dans un contexte de baisse de production en Europe.

La trêve Pascale va offrir un répit aux abattoirs dans la quête de leur approvisionnement sans pour autant remettre en question la fluidité tant les disponibilités futures sont annoncées encore plus réduites.

Le cours du porc vivant continue sa progression.

L'Europe échelonne ses positions de prix. L'Allemagne lors du dernier marché de mars a augmenté de 7 cts/kg carcasse, ce qui transmet fermeté et sécurité.

C’est enfin une hausse générale des cours qui s’est produite en Europe provoquée par un regain de la demande de viande sur les marchés intérieurs et à l’export.

Sur le marché de la viande, la demande est bonne sur les pièces telles que l’épaule, le jambon, la poitrine de porc, un peu moins bien pour la longe.

Il y a une grande crainte que l’image publique du Président Trump au Mexique et en Chine puisse conduire à des exportations plus faibles pour l’année prochaine. 

Tous les regards se tournaient vers l’Allemagne espérant enfin une hausse franche et sans ambiguïté.

Les premiers jours du mois de mars n’ont pas apporté de changements importants dans la demande de viande de porc sur le marché intérieur français.

Depuis la fin janvier jusqu'à aujourd'hui, le cours de Mercolleida a repris de 6,60 centimes. On pourrait dire que le prix espagnol chevauche un puissant moteur diesel qui le pousse inexorablement vers le haut.

Les commentaires des semaines passées concernant les marchés européens restent d’actualité pour la semaine qui vient de s’écouler.

C'est à nouveau une semaine sans réels changements qui vient de s'écouler.

L'intention actuelle est d'éliminer les anciens accords multilatéraux et complexes pour créer des accords bilatéraux clairs qui soient bénéfiques pour la majorité des individus de chaque pays.

Des opérateurs toujours bien informés estiment que le prix moyen en 2017 ne sera pas inférieur à 1,20 €/kg, ce qui ne serait pas mal du tout.