En 2021, la production européenne devrait rester stable
Selon la Note de conjoncture du 10 mai de l'IFIP, en 2021, la production européenne devrait rester stable mais avec des situations contrastées selon les pays.
Selon la Note de conjoncture du 10 mai de l'IFIP, en 2021, la production européenne devrait rester stable mais avec des situations contrastées selon les pays.
Le commerce se concentre sur l'Asie, qui absorbe 78% de ces volumes échangés, et en particulier sur la Chine.
Le Ministère chinois de l'Agriculture a publié son "Rapport sur les perspectives agricoles de la Chine (2021-2030)" à la fin du mois dernier.
En Pologne, l'effectif porcin atteint actuellement des niveaux observés il y a 70 ans.
Prévue pour 2023, cette infrastructure devrait favoriser l'expansion commerciale des protéines animales et d'autres produits dans le Pacifique.
La CE a approuvé des programmes visant à soutenir financièrement les éleveurs de porcs de Slovénie et de Lettonie touchés par la pandémie de coronavirus.
Les exportations de viande de porc des États-Unis ont enregistré en mars la valeur mensuelle la plus élevée, établissant de nouveaux records de volume.
La construction se fera dans la ville d'Assis Chateaubriand, dans le Paraná, et aura une capacité d'abattage quotidienne de 15.000 animaux.
L’Indice FAO des prix de la viande enregistre son septième mois de hausse consécutif.
Rabobank s'attend à une reprise progressive du cheptel porcin, mais la hausse des coûts d'élevage et l'incertitude de la demande devraient modérer le rythme de la croissance. Voyez le résumé du marché pour la Chine, les États-Unis, l'Europe et le Brésil.
Les exportations néerlandaises de porcs d'engraissement ont diminué de près de 45%, en raison d'une baisse significative des expéditions vers l'Allemagne, leur principale destination, qui représente une part de 90%.
La valeur des exportations vers la Chine a augmenté tirée par la demande croissante de viande porcine et céréales secondaires.
Les abattages en mars sont légèrement supérieurs aux niveaux de mars 2020.
Les importations espagnoles de porcelets en provenance des Pays-Bas au cours de ce premier trimestre représentent une hausse de 66% par rapport à la même période de l'année dernière.
Les prix élevés du maïs et du soja et l'incertitude quant à la productivité des cultures inquiètent les éleveurs de porcs pour l'utilisation en aliments pour animaux.