Des hausses de cours malgré tout
Reprise timide au nord de l’Europe, situation très incertaine en Belgique, hausse de prix porcs en Espagne, léger mieux sur le marché italien et prix moyen de base aux Etats‐Unis qui continue sa progression.
Reprise timide au nord de l’Europe, situation très incertaine en Belgique, hausse de prix porcs en Espagne, léger mieux sur le marché italien et prix moyen de base aux Etats‐Unis qui continue sa progression.
Les exportations de viande de porc des États-Unis ont enregistré en mars la valeur mensuelle la plus élevée, établissant de nouveaux records de volume.
Le manque de possibilités d'exportation vers des pays tiers amène Danish Crown à réduire de moitié la production dans une usine de désossage en Allemagne.
La grande inertie des cours du porc en Europe du Nord conditionne actuellement l’évolution de la plupart des autres marchés en Europe à la veille d’une semaine dont l’activité sera réduite en raison du jeudi de l’Ascension.
Les exportations néerlandaises de porcs d'engraissement ont diminué de près de 45%, en raison d'une baisse significative des expéditions vers l'Allemagne, leur principale destination, qui représente une part de 90%.
La valeur des exportations vers la Chine a augmenté tirée par la demande croissante de viande porcine et céréales secondaires.
Marché du porc : en pleine expansion en Espagne, non concentré en Europe et avec des interrogations en Chine. Marché de la viande de porc : au plus bas en Europe.
Les marchés européens du porc vivant continuent d’évoluer au gré de leur situation particulière : en Allemagne, après la chute la semaine précédente, le marché paraît s’équilibrer, en France une nouvelle hausse maximum a été enregistrée le lundi...
Allemagne a perdu 8 centimes, l'Espagne se mantient stable, France avec une hausse de 6 cents. et aux Etats-Unis la hausse du prix du porc ne semble pas avoir de fin.
Pour la première fois et depuis septembre 2020, les volumes exportés vers les pays tiers surpassent ceux destinés au marché intra-européen.
Des questions agricoles particulièrement importantes, telles que l'impact de la peste porcine africaine sur le commerce, ont été abordées au cours de la réunion bilatérale.
Dans le nord de l’Europe, les marchés sont à l’équilibre après les fêtes de Pâques. Les différents fériés ont laissé suffisamment de porcs pour une demande relativement calme. Sur les marchés intérieurs, les températures basses sont peu propices à la mise en route de barbecues.
Les exportations britanniques vers l'UE se sont redressées après l'effondrement de janvier, mais les volumes restent bien inférieurs aux niveaux de 2020.
En 2020, les exportations de produits agricoles russes ont augmenté de 20%, atteignant des records historiques.
Quels ont été les moteurs des exportations record vers des marchés comme la Chine, le Japon et le Mexique ? À l'avenir, comment cela va-t-il évoluer ?
Le commerce de la viande de porc de l'UE s'est montré résistant, ce qui a permis de maintenir des niveaux d'exportation élevés. Comment la production et les exportations évolueront-elles en 2021 ?