Les exportations de la viande de porc française ont progressé très fortement en 2019
Les exportations en volume de la France ont progressé très fortement en 2019 (+ 60 000 tec, soit une hausse de 9,4 %) et devraient avoisiner les 702 000 tec.
Les exportations en volume de la France ont progressé très fortement en 2019 (+ 60 000 tec, soit une hausse de 9,4 %) et devraient avoisiner les 702 000 tec.
Avec un total de 57 entreprises agréées, l'Espagne est le premier exportateur mondial de produits de viande et produits porcins vers la Chine.
En Europe, la perte de jour(s) d’activité en raison des fêtes de Pâques a réduit la demande de porcs vivants tandis que la demande de viande reste modérée, surtout sur les marchés intérieurs.
En fonction des tendances de production actuelles ou des orientations commerciales, les positions de prix sur le marché européen sont entre stabilité et baisse de cours.
La peste porcine africaine continue d'affecter négativement les exploitations porcines de basse-cour et commerciales en Roumanie. Les prix élevés du porc dans l'UE ont réduit les importations de viande de porc et de porcelets vivants en Roumanie au cours du second semestre de 2019.
Le mouvement de panique apparu en Europe à la suite du développement inquiétant de la pandémie du Coronavirus, qui avait poussé les éleveurs à livrer des porcs de manière anticipée, s’est peu à peu dissipé.
Le prix du porc en Espagne est bien supérieur au prix européen. Avec un abattage hebdomadaire de 1.000.000 têtes, comment les possibles cas de coronavirus affecteront-ils les exploitants d'abattoirs ou la réduction des achats de la filière de l’hôtellerie-restauration ?
En janvier 2020, les exportations de viande porcine ralentissent vers les pays tiers.
Baisse de l’effectif porcin canadien, mais hausse de la production en 2020, le pays se remettant du PEDv. Augmentation des importations et des exportations de viande de porc.
Les Ministres sud-américains de l'Agriculture ont analysé l'harmonisation des normes pour garantir la libre circulation des aliments et des fournitures.
Des chocs imprévus comme la pandémie de COVID-19 fausseront gravement les chaînes d'approvisionnement.
L’épidémie de Coronavirus a mis un coup d’arrêt à la tendance optimiste qui régnait sur le marché porcin depuis plusieurs mois en Europe.
Au nord de l’Europe, l’heure est à la pause dans l’évolution des cours, qui s’établissement maintenant autour des 2 euros en prix de base.
La diminution de l'effectif porcin canadien marque la deuxième baisse annuelle consécutive (janvier à janvier). La demande du Japon a contribué à maintenir les exportations malgré l'interdiction de la Chine.