Page 187 sur Articles sur Marchés - économie

Rien ne permet de penser que le cours devrait descendre beaucoup plus bas.

Tous les pays participant à Interpig ont eu des pertes en 2011 sauf les Etats-Unis.

On prévoit une réduction de la consommation totale de viande dans l'UE de 0,6% en 2012 et en 2013, ce qui serait le résultat combiné de la hausse des prix intérieurs et de la récession économique.

Durant le mois de septembre, les prix du porc ont plafonné dans une majeure partie des pays européens, tout particulièrement en France et en Espagne.

Partout en Europa les prix ont battu tous les records. Nous commençons le mois d’octobre avec la sensation d’avoir consolidé une nouvelle position pas encore transmise pleinement à la grande distribution, qui n’aura pas d’autre choix que de prendre le train en marche.

Nous présentons l'évolution du cheptel porcin dans l'Union Européenne entre 1986 et 2011.

Il n'y a pas suffisamment de porcs pour tout le monde et ceux qu’il y a sont chers. Il en est désormais partout ainsi en Europe.

La Chine continue de représenter la moitié de la production mondiale...

Nous présentons des données sur la production porcine en Grande-Bretagne entre 2007 et 2011.

Nous présentons des données historiques sur les abattages de porcs dans l'UE à 27 de 2001 à 2011.

Le cœur de l’actualité est sans conteste la situation climatique aux Etats-Unis, où la sécheresse a généré une flambée du cours du maïs. Elle a entraîné dans son sillage une hausse du prix du blé,

On prévoit la stabilité en Août et la résistance à la baisse habituelle en Septembre. Cet automne ne sera pas comme les autres années.

Depuis 1992, les états les plus arides des USA se sont convertis en centre de production porcine. L'Oklahoma et l'Utah ont connu respectivement des croissances de 871 % et 1.582 %

Dans les semaines à venir, une amélioration de la météo dans le nord de l’Europe devrait arrêter la baisse des cours observées en Allemagne et aux Pays-Bas, voire faire légèrement remonter les prix, dans un contexte d’offre en baisse...

Les cours constants et répétés de juin ont clairement indiqué que le prix espagnol ne peut pas augmenter. Si notre prix avait plus augmenté il aurait certainement entraîné un afflux d'importations très perturbant pour le marché national.

Les perspectives, au nord comme au sud de l’Europe, vont dépendre du comportement de la demande, à l’heure où l‘offre recule. Une météo favorable dans les principales destinations touristiques, au sud de l’Europe, y soutiendrait les prix.