Résultats préliminaires des coûts de la production porcine mondiale
Les chiffres ont été présentés lors de la réunion annuelle du Groupe de Comparaison des Coûts de Production porcine.
Les chiffres ont été présentés lors de la réunion annuelle du Groupe de Comparaison des Coûts de Production porcine.
La contraction du cheptel reproducteur dans l'Union européenne s'accentue et une baisse de 0,8% est prévue pour les États-Unis. Le Mexique devrait dépasser le Canada et la Corée du Sud sur cet indicateur.
La République de Corée reconnaît désormais les mesures strictes de régionalisation prises par l'UE pour lutter contre les foyers de peste porcine africaine.
Le prix de la viande de porc a augmenté de 20% en juillet par rapport à l'année dernière.
Les grands abattoirs auront un an pour s'adapter aux nouvelles règles, et les petits abattoirs, deux ans.
Le BMEL demande de réduire sa durée à Bruxelles après que le Ministère de l'Agriculture de Basse-Saxe a fourni des données.
En comparaison avec le rapport de juillet, les estimations du commerce international de maïs se sont améliorées en août, tandis que la production a été ajustée à la baisse. Dans le cas du soja, l'entité a augmenté ses projections pour les trois indicateurs.
Ce déséquilibre offre / demande se traduit partout par des hausses des prix à la production.
Selon le rapport mondial sur le porc du troisième trimestre de Rabobank, la peste porcine africaine, l'inflation et les politiques remettent en cause la croissance alors que les perspectives commerciales augmentent.
L'été a été infernal à tous points de vue : des coûts qui montent en flèche, une hausse lente du porc et viande « ancrée ». Guillem Burset analyse la situation actuelle du marché du porc et prédit ce que nous réservent les mois à venir.
La quantité de viande de porc produite au premier semestre 2022 a été de 2,3 millions de tonnes, soit 10,1 % de moins qu'à la même période en 2021.
Le Ministère des Transports a lancé un projet pilote de transport de céréales par train de l'Ukraine vers l'Espagne.
Le déséquilibre croissant entre l’offre et la demande permet une nouvelle série de hausses significatives des cours du porc dans le nord de l’Europe après plusieurs semaines de désolante stabilité.
Le déficit de l’offre en Europe se creuse de plus en plus et, s’accompagnant d’une meilleure demande, se traduit logiquement par un mouvement généralisé des cours du porc.
L’effondrement de l’offre conjugué à une demande, à présent un peu plus soutenue, provoque quelques mouvements de hausse en Europe, notamment dans le nord, où la fin des congés d’été dans certaines régions laisse augurer d’un meilleur commerce.
Les marchés européens du porc vivant restent caractérisés encore cette dernière semaine par une offre tr s faible et une demande relativement calme, notamment dans le nord de l’Europe.