Pologne : nouvelle diminution du nombre de cheptels porcins, dont la population se stabilise
Parmi les exploitations nouvellement créées, la plupart élèvent jusqu'à cinq animaux.
Parmi les exploitations nouvellement créées, la plupart élèvent jusqu'à cinq animaux.
Rabobank signale une offre excédentaire à court terme dans des conditions de croissance optimales ; la demande est stable.
Les tendances affichées la semaine passée sur les marchés des porcs vivants paraissent déconcertantes au premier abord entre baisse fracassante en Allemagne et hausse maximum en France. Entre ces deux antipodes, de la stabilité et de légères baisses ou hausses !
Selon Agreste, en mai 2024, le nombre de porcins abattus dépasse légèrement le niveau de mai 2023, mais reste nettement en retrait par rapport à la moyenne 2019-2023.
Toutefois, le nombre de porcelets sevrés augmente, ce qui contribue à l'accroissement du nombre de porcs de marché.
Malgré une légère amélioration de la demande apportée par de meilleures conditions météo et malgré un niveau relativement faible des offres, les tendances de prix du porc en Europe observées depuis quelques semaines ont été majoritairement reconduites.
La production totale de l'UE a enregistré une hausse marginale de 0,3 % au premier trimestre par rapport à 2023, selon AHDB.
Avec un prix du porc qui semble ferme et un marché de la viande plutôt déprimé, le mois de juillet s'annonce difficile.
Le nombre d'élevages porcins a diminué de 3,4% en un an et de 42,2% sur dix ans.
Les prix du porc dans le nord de l’Europe seront-ils en mesure de hausser cet été, alors que les congés d’été vont bientôt débuter associés à la fermeture des collectivités et de certaines entreprises ?
Alors que la production mondiale de viande de volaille, de bœuf et de mouton devrait légèrement augmenter en 2024, la production de viande de porc devrait diminuer.
Depuis mai 2014, le nombre d'exploitations porcines en Rhénanie-du-Nord-Westphalie a diminué de 34,4 %.
La forte demande extérieure pour les produits de base locaux se fait sentir sur le marché national. Les perspectives internationales présentent des opportunités du côté des fonds et de l'état des cultures, même si le maïs brésilien entrera bientôt en pleine concurrence.
Malgré la baisse de production, les offres disponibles sont suffisantes pour une demande sans ressort.
Genesus a publié sa liste des MEGAProducteurs mondiaux pour 2024.
Les hausses de cours tant attendues sur certaines places de cotations ne se sont pas produites.