Améliorations confirmées
La première semaine de février a vu les situations du marché de l’offre s’améliorer quelque peu en Europe.
La première semaine de février a vu les situations du marché de l’offre s’améliorer quelque peu en Europe.
Le prix moyen du porc en Alberta a baissé de 9% par rapport à 2019.
Les perspectives concernant la production mondiale de céréales ont été relevées, mais les stocks devraient fléchir nettement et les échanges être plus importants que prévu.
La semaine dernière, le nombre de porcs d'abattage accumulés dans les élevages allemands a été réduit à environ 880.000 animaux.
En Allemagne, il n’y a pas de grand changement puisque les reports d’abattages sont énormes. Espagne montre une légère impulsion sur le prix du porc tandis que en Italie, les récentes hausses des prix ont diminué la rentabilité des abattoirs. En France le cours n’a pas varié durant tout le mois de janvier.
L'analyste Guillem Burset passe en revue les principaux marchés porcins européens parmi lesquels se distingue, à contre-courant, le rôle de l'Espagne. Sera-t-elle capable de tenir ?
En Europe du Nord une nette baisse s’annonce tandis que dans le sud l’Espagne continuera sa croissance encore quelques années. En Europe de l’Est, des investissements se profilent en Roumanie.
Concernant les prix du porc en Europe, une nouvelle semaine sans grand changement vient de s’écouler, aucune évolution majeure n’étant apparue, notamment sur le marché de l’offre, chargé de porcs encore très lourds.
Au cours de la dernière décennie, le nombre d'exploitations porcines a diminué de 47 % en Allemagne.
Allemagne avec une situation préoccupante due à des retards d’abattage, l' Espagne qui présente une situation de son marché porcin bien plus positive et les Éats-Unis avec une demande à l’export qui se maintient à un bon niveau.
Les effectifs américains de porcs reproducteurs et de porcs destinés au marché sont en baisse par rapport à l'année dernière.
L’année 2021 a débuté sur des cours du porc stables dans les principaux bassins de production européens. Les niveaux de prix sont toutefois très bas comparés au début de l’année 2020, entre moins 30 et moins 40 % selon les pays. Les récents fériés ont laissé des reports d’abattage concrétisés par des hausses de poids importantes.
Un total de 182,9 millions d'euros a été alloué à la promotion des produits agroalimentaires de l'UE à l'intérieur et à l'extérieur de l'UE en 2021.
Les exportations mondiales de viande de porc devraient atteindre 11,1 millions de tonnes en 2020, soit une hausse de 16 % par rapport à l'année dernière.
Sans nul doute, l’année 2020 aura profondément marqué tous les esprits et restera pour les filières porcines, notamment européenne, une année qui a mis à mal toutes les prévisions et les espérances.
Sur les marchés intérieurs, la demande de viande fraîche notamment est forte de la part des commerces. Sur le marché de la viande, des hausses de prix sont intervenues sur certaines pièces.