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Le 29 janvier 2019, le Ministère chinois de l'Agriculture (MARA) a lancé l'édition 2019 du "Plan de mise en œuvre d'Urgence Epidémique concernant la PPA".

Davantage de contrôles inopinés fondés sur les risques, et des sanctions plus dures pour les contrevenants. Réduire le temps de transport et transporter des carcasses plutôt que des animaux vivants. Mieux faire appliquer les règles existantes à l’aide des nouvelles technologies.

L'isolat Letton étudié témoigne de l’évolution naturelle du virus PPA, notamment de l’émergence de formes moins virulentes comme celles observées dans des zones où la PPA circule de manière enzootique depuis longtemps.

"Une alliance mondiale est fondamentale pour gagner en force et en articulation face aux problèmes qui touchent tous les producteurs, tels que les problèmes sanitaires",

En janvier 2019, l’effectif porcin danois a connu une diminution dans toutes ses catégories.

Les personnes suspectées d’avoir joué un rôle dans la propagation de la maladie sont un gestionnaire de chasse et un garde privé.

La concertation qui s'ouvre doit permettre aux différentes parties prenantes de s'accorder sur une vision de l'avenir souhaitable et sur les moyens de l'atteindre.

L'Allemagne a été le principal exportateur au cours de l'année écoulée, dépassant l'Espagne, qui est passée à la deuxième position.

Les élections en vue du renouvellement des membres des chambres d'agriculture se sont tenues jusqu'au jeudi 31 janvier 2019.

Au cours de l’année écoulée, les éleveurs de porcs du Danemark ont à nouveau réussi à réduire leur consommation d’antibiotiques. Au cours des cinq dernières années, la consommation a été réduite de 18%.

La maladie a été détectée dans un élevage de porcs dans les voïvodies de Varmia et de Mazurie.

Des experts du monde de la chasse, des scientifiques, la Commission européenne, l'EFSA, l'OIE, les autorités nationales ainsi que des parties prenantes des secteurs de l'agriculture et de la viande de porc de l'UE ont assisté à la conférence.

Une réunion de lancement pourrait être tenue en R.P. de Chine afin de définir les termes de référence ainsi que le programme de travail du groupe.

Pour 2019, la Commission a décidé d'allouer environ 154 millions d'euros à la lutte contre les maladies animales et les maladies infectieuses des animaux pouvant être transmises à l'homme, ainsi que pour appuyer les études sur les parasites végétaux.