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Le décret relatif à ces nouvelles mesures réaffirme la place du diagnostic pour limiter le risque d’utilisation inappropriée de ces antibiotiques et de développement de l’antibiorésistance.

Le document décrit les différentes phases d'un incident et fournit des directives étape par étape pour mettre en place des activités de communication efficaces.

En 2016, les exportations de viande de porc de l'UE devraient augmenter encore, bien qu'à un rythme plus lent (3%).

Pour le Brésil, l'ouverture de ce marché pourrait déboucher sur un commerce de 153,6 millions de dollars par an.

D'après les données de l'USDA, l'effectif porcin des Etats-Unis et du Canada au mois de décembre 2015 se montait à 81,6 mililons de têtes, soit 1% de plus qu'en décembre 2014 et jusqu'à 5% de plus qu'en décembre 2013.

En 2015, les vingt principales entreprises du secteur porcin russe ont représenté presque 61% de la production industrielle totale.

L'année dernière, la consommation d'antibiotiques dans la production porcine au Danemark a diminué de 5%.

En revanche, l’application de la réglementation relative à l’information du consommateur sur l’origine de la viande demeure insuffisante et les taux de non-conformité sont élevés.

La Commission s'est engagée à introduire de nouveau le stockage privé de viande de porc, lorsque les conditions seront plus adéquates.

Le prix de l'UE se situe à sa valeur la plus basse des 12 dernières années.

Afin de lutter contre la résistance croissante des bactéries aux antibiotiques actuels, l'utilisation d'antimicrobiens existants devrait être limitée et de nouveaux produits devraient être élaborés.

Concernant la prévention de la caudophagie et, partant, une réduction de la section partielle de la queue réalisée sur une base de routine, les États membres devraient tenir compte des orientations en matière de meilleures pratiques, fondées sur les connaissances scientifiques.

Pour ce qui est de l'espèce porcine, en 2015 les abattoirs espagnols ont abattus 46.379.926 porcs, produisant un total de 3,89 millions de tonnes de viande.

A moyen terme (3 à 5 ans), les coûts supplémentaires pour l'élevage d'animaux aux Pays-Bas découlant du prix plus élevé du soja non modifié génétiquement et d'autres sources de protéines, sont estimés entre 60 et 100 millions d'euros par an.

L'activité de la joint venture sera la transformation, l'emballage et la vente au détail de produits frais à base de porc et de boeuf d'origine française pour la consommation humaine.

Suite à l'approbation du Parlement, le règlement pourra désormais être publié au Journal officiel de l'UE.