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Ce corridor, qui permet l'exportation de céréales et d'engrais depuis la Russie et l'Ukraine, est de la plus haute importance pour le maintien de la sécurité alimentaire mondiale.

Parmi les matières premières utilisées, la moitié sont des céréales dont le volume et la part augmentent légèrement.

En mai, les exportations ont atteint 1,3 million de tonnes de céréales et autres denrées alimentaires. C'est moins que la moitié du mois précédent.

Les exportations ont atteint 18,6 milliards d'euros en valeur, soit 10 % de plus qu'en février 2022.

C'est dans la filière porcine que la baisse de production a été la plus forte.

La production totale d'aliments pour animaux devrait peu évoluer en 2023/24, mais l'utilisation du maïs devrait augmenter.

La Pologne, la Hongrie et la Slovaquie ont temporairement interdit les importations de céréales et d'autres produits agricoles en provenance d'Ukraine.

Comme prévu, l'agence a procédé à de nouvelles réductions des volumes de production estimés pour les cultures argentines, tandis que pour les autres pays, il n'y a pas eu de changements significatifs. Dans le rapport du 12 mai, nous connaîtrons les premières projections pour la saison 2023/24.

Cette baisse a été rendue possible par diverses initiatives sectorielles visant à réduire l'utilisation d'antibiotiques chez les animaux d'élevage.

L'Initiative céréalière de la mer Noire a été prolongée mais les Nations unies n'ont pas précisé la durée du renouvellement.

Les fabricants enregistrent une baisse de la production généralisée en 2022 dans le secteur de la nutrition animale.

Une fois de plus, l'estimation de la production des cultures argentines a été réduite, en raison des conditions climatiques défavorables qui ont accompagné le développement des cultures dans ce nouveau cycle.