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Les aliments porcins et de volaille ont crû respectivement de 0,6% et 1,2%.

A la faveur de la hausse des revenus, notamment dans les économies émergentes, la demande de viande et de produits halieutiques et aquacoles s'élèvera sensiblement.

La plupart de l'aliment était destiné aux vaches laitières (382%), 25,9% aux bovins de boucherie, 11,4% aux veaux et 13.1% aux porcs en engraissement.

Le prix interne élevé du maïs et la situation d'incertitude économique laissent prévoir un ralentissement de 2% de la croissance de ces deux filières d'élevage.

La FAO a revu à la hausse ses prévisions concernant la production céréalière mondiale pour 2016, la situant autour des 2 543 millions de tonnes, soit juste 0,7 pour cent en dessous du niveau record de 2014.

Selon Agreste, sur le 1er trimestre 2016, la fabrication industrielle d’aliments composés recule nettement comparativement au 1er trimestre 2015 : - 4,2 %.

Le commerce mondial de toutes les céréales et oléagineux a augmenté de près de 150 millions de tonnes au cours des cinq dernières années.

Le 3 mars dernier, la Commission européenne a exclu la France du champ de l’autorisation européenne du maïs transgénique MON 810, seul maïs OGM actuellement autorisé en Europe.

La production mondiale de céréales devrait atteindre les 2 521 millions de tonnes en 2016, juste 0,2 pour cent de moins par rapport à l'année dernière.

A moyen terme (3 à 5 ans), les coûts supplémentaires pour l'élevage d'animaux aux Pays-Bas découlant du prix plus élevé du soja non modifié génétiquement et d'autres sources de protéines, sont estimés entre 60 et 100 millions d'euros par an.

Au cours des 30 dernières années, la chaîne de valeur européenne —allant des céréales & oléagineux (G&O, de l'anglais grains & Oilseeds) à la viande de porc en passant par les aliments pour animaux— s'est développée en trois modèles commerciaux principaux : spécialisation, semi-intégration et pleine intégration.

Compte tenu de l'importance du rôle que joue la colistina en tant qu'antibiotique de dernier recours en médecine humaine et au vu des dernières découvertes, l'EMA révisera ses conseils de 2013.

La Commission Européenne a attribué un total de 32,5 millions d'euros, pour les années 2016 et 2017, pour soutenir les 43 Laboratoires de Référence européens (EU-RL) désignés pour les aliments et aliments pour animaux, ainsi que pour la santé animale.

La Commission a retiré l'autorisation de 4 OGM pour utilisation dans les aliments ou aliments pour animaux: maïs MON863, maïs MON863xMON810xNK603, maïs MON863xMON810 et maïs MON863xNK603.

Malgré l'incitation économique aux éleveurs porcins pour qu'ils utilisent leurs propres céréales, la production industrielle d'aliment pour porc est demeurée stable en 2015.

Selon Harinder Makkar, de la FAO, qui a coordonné cette étude, “les résultats illustrent des besoins plus importants pour les laboratoires d'analyses des aliments des pays en développement quant à l'amélioration de la qualité des données générées.”