Page 7 sur Articles sur Porcelet

L'objectif des principales stratégies nutritionnelles est de garantir un effet bénéfique sur la flore digestive des porcelets et leur santé intestinale au cours du sevrage et de réduire ainsi le risque d'épisodes colibacillaires.

Le SDRP ne favorise pas l'infection par H. parasuis parce qu'il réduit la population de macrophages alvéolaires mais parce qu'il réduit leur capacité à inactiver la bactérie.

Le SDRP favorise l'infection par H. parasuis  parce qu'il réduit la capacité des macrophages à inactiver la bactérie.

Dans une maternité où circule le virus de la grippe porcine, une proportion de porcelets relativement élevée peut être infectée pendant les premières semaines de vie, révélant ainsi que tous les porcelets ne sont pas protégés par les anticorps maternels.

Un facteur qui passe souvent inaperçu est que les porcelets sevrés ont de l'œdème et cette rétention d'eau explique le gain de poids anormal pendant les premiers jours du sevrage.

Cet article sera consacré aux signes cliniques de certaines infections par E. coli : colibacillose néonatale, colibacillose post-sevrage et maladie de l'œdème.

Le principal point à ne pas oublier est l’approche globale nécessaire pour évaluer toutes les possibilités: on doit prendre des échantillons et analyser vis-à-vis de tous les agents qui peuvent causer cette diarrhée.

L'échantillon idéal pour le diagnostic des pathogènes digestifs néonataux est l'envoi de porcelets vivants.

Le bénéfice nutritionnel attendu de ces produits est très intéressant, mais tous les moyens de prévention doivent être appliqués, en particulier pour éviter l’introduction de la DEP et la diffusion de la PPA.

Dans cette présentation, nous allons vous expliquer comment les hormones agissent sur le déclenchement de la mise-bas, la lactation et la venue des chaleurs post-sevrage.

Sur les 4 derniers lots de sevrés, environ 3 % des porcelets étaient anorexiques et léthargiques. Tous les traitements appliqués ont échoué (injections d'amoxicilline ou florfenicol) et finalement les porcelets moururent.

Il faut faire en sorte que le sevrage soit un processus progressif, pas un événement traumatisant, en évitant les changements brusques.

Au bout de 6-7 h le colostrum a déjà perdu 50% de ses immunoglobulines et 90% au bout de 24 h.

Dans un système avec 2,35 mises-bas par truie par an, plus de 14 porcelets nés, plus de 11 sevrés par mise-bas et autour de 1% de pertes au sevrage, que peut-on faire pour améliorer ?

Bien qu'aucun des salariés n'ait affronté auparavant un cas de GET, ils étaient préoccupés de savoir si c'était cette maladie.

Près des ¾ des pertes arrivent dans les trois premiers jours de vie, en particulier dans les 48 premières heures.