Nouveau mouvement de hausse
En Europe, le retour à la fluidité après les fériés d’octobre-novembre s’est traduit rapidement par un mouvement de hausse des prix assez généralisé.
En Europe, le retour à la fluidité après les fériés d’octobre-novembre s’est traduit rapidement par un mouvement de hausse des prix assez généralisé.
Les tendances de prix observées ces dernières semaines en Europe se poursuivent toujours à de hauts niveaux, entretenues par une très forte demande chinoise.
Tous les produits porcins venant de l’étranger restent avantageux au regard des tarifs pratiqués en Chine et cela participe au soutien des prix à la production de bon nombre de pays fournisseurs.
L’élevage obtient de larges bénéfices tandis que la transformation continue d’accumuler des pertes. La Chine importe de plus en plus...
L’exceptionnelle demande chinoise soutient les marchés qui peuvent bénéficier de cette opportunité.
Des clés pour comprendre combien de temps il faudra à la Chine pour rétablir la production de porcs.
L’excellente demande chinoise continue de soutenir les prix à la production malgré une offre élevée de porcs beaucoup plus lourds que l’année dernière dans de nombreux pays, résultat d’une bonne gestion des sorties d’élevage qui optimise les derniers kilos et d’une bonne croissance liée à des températures clémentes.
La consommation française résiste à la hausse des prix tandis qu’industriels et distributeurs cherchent des solutions durables pour l’équilibre de leurs relations commerciales.
En Europe, les tendances observées les 2 semaines précédentes ont été reproduites la semaine passée à savoir une stabilité quasi générale des prix dans le nord de l’Europe.
La bonne demande à l’exportation, en particulier vers la Chine, maintient un équilibre sur les marchés européens malgré des offres en hausse et des poids plus élevés.
Les marchés du porc vivant au nord de l’Europe se caractérisent par une grande stabilité des cours depuis quelques semaines déjà.
Les marchés s’équilibrent entre des offres en augmentation et une demande qui s’améliore, les ventes à l’export venant soutenir ou relayer les marchés intérieurs.
Les résultats du premier semestre montrent déjà une hausse des exportations européennes vers les pays tiers de 14,7% dont une croissance de 41,9 % uniquement pour la Chine.
La tendance positive observée en Europe ces dernières semaines s’est poursuivie la semaine dernière, quoique de façon plus mesurée.
Les autres cotations du nord de l’Europe ont suivi la tendance très positive
du marché allemand. Les volumes exportés vers la Chine sur le 1er semestre 2019 ont augmenté.
L'offre disponible reste toujours faible, phénomène amplifié par la canicule qui a sévi en juillet sur toute l’Europe.