Les marchés du porc restent assez équilibrés
L’augmentation de l’offre générée par les fériés semble gérable face à une meilleure demande de porcs.
L’augmentation de l’offre générée par les fériés semble gérable face à une meilleure demande de porcs.
La semaine passée, alors que l’activité était ralentie partout en Europe en raison du férié du 1 er mai, les cours du porc ont diversement évolué selon des conditions propres à chaque pays.
Alors que l'Indice FAO des prix de la viande a augmenté à partir de mars, les prix mondiaux du porc ont légèrement baissé.
Les prix mondiaux à l’exportation du blé se sont stabilisés en avril tandis que les prix du maïs et de l’orge ont augmenté et que ceux du sorgho et du riz ont diminué.
A l’approche du férié du 1 er mai, la demande de porc en Europe est correcte mais sans plus et reflète la prudence des acheteurs qui, alors que l’activité va se trouver ralentie durant ce mois de mai, attendent des conditions plus favorables au développement du commerce des produits de la gamme de printemps.
Les attentes en matière de prix restent élevées dans les pays européens et en Afrique du Sud, stables en Asie et variables en Amérique.
Le marché espagnol a enchaîné cinq répétitions consécutives. Le mois de mai définira probablement le niveau auquel notre cours peut parvenir.
En Europe, sur les marchés du porc vivant, les situations ne présentent guère de changement et affichent un équilibre entre des offres et une demande modérées.
Selon le Bureau national des statistiques, la production porcine chinoise a connu une légère baisse au cours du premier trimestre.
Les offres, bien que peu élevées en dépit des quelques reports d’abattage, sont adaptées à la demande qui peine toujours à décoller de façon significative.
Les données préliminaires indiquent que le prix de la viande de porc a augmenté de 20 % en moyenne en Californie.
La récolte de soja a commencé avec de bons rendements, mais seulement 3 % des premiers lots de soja dans la région centrale ont été récoltés. La récolte de maïs accuse un retard de 30 % par rapport aux cinq dernières saisons.
Les prix mondiaux à l'exportation du blé ont baissé, tandis que les prix du maïs ont légèrement augmenté.
Après les hausses intervenues au cours du mois de février, c’est la stabilité des prix qui a prévalu au mois de mars sur les marchés du porc, notamment en Europe du Nord tandis qu’au sud, les hausses de prix se sont poursuivies notamment dans la première partie du mois pour décroître peu à peu à l’approche des fêtes de Pâques.
Les prix du porc ont augmenté, principalement en raison de la hausse de la demande intérieure avant les vacances de Pâques.
La reprise marquée de la production entraîne une hausse de la trituration et des exportations au cours de la nouvelle saison.