Les cours du porc sont restés très majoritairement stables
Comme pressenti, les cours du porc sont restés très majoritairement stables sur l’ensemble des marchés en Europe durant cette semaine Sainte.
Comme pressenti, les cours du porc sont restés très majoritairement stables sur l’ensemble des marchés en Europe durant cette semaine Sainte.
Nous verrons si le marché de printemps démarre à Pâques, comme le veut la tradition, ou s'il connaît un retard en raison de la date trop précoce dans l'année.
A la veille des fêtes de Pâques, les marchés du porc en Europe ont affiché des prix entre stabilité ou hausses modérées.
En 2024, la production de porcs et de viande de porc diminuera légèrement, car la faiblesse persistante des prix des porcs vivants pèse sur les éleveurs.
Les transactions de maïs, entre contrats et fixations, ont été dynamiques depuis le début de l'année 2024, tirées par la demande à l'exportation. Au Brésil, la récolte progresse, avec des projections divergentes quant au chiffre final.
Sans commerce suffisant, l’évolution des cours du porc en Europe marque le pas malgré des offres peu élevées. Sur les marchés intérieurs, la consommation est faible, impactée par la baisse du pouvoir d’achat.
Il s’agit de la première augmentation de l’Indice FAO des prix de la viande en sept mois.
Les prix internationaux de toutes les principales céréales ont diminué d'un mois à l'autre.
Les variations de prix sur les marchés européens du porc vivant ont évolué la semaine passée entre stabilité dans le nord de l’Europe et poursuite de la hausse en France et en Espagne notamment.
Selon les commentaires rapportés des différentes places, c’est le manque d’offres qui oriente les cours vers le haut.
Le rythme des hausses de prix du porc est énergique et déterminé. Le marché sera-t-il la copie conforme de l'année dernière ? Ce n'est pas ce qu'opine Guillem Burset, qui ne pense pas que nous atteindrons cette année 2,025 €/kg vif…
Malgré des offres limitées, les cours du porc ont été globalement reconduits dans le nord de l’Europe après deux semaines de hausses significatives. Mais le marché de la viande peine à intégrer totalement ces hausses.
Le marché européen du porc vivant poursuit sa tendance haussière.
La référence officielle en Allemagne a repris 10 centimes mercredi 7 février.
En raison de la vague de chaleur prolongée, environ 10 % de la superficie plantée en seconde culture de soja dans la zone centrale serait perdue. En ce qui concerne le 1er soja, le potentiel d'il y a quinze jours a disparu. La quantité de pluie de ce week-end est déterminante.
L'énorme croissance de la production et des exportations qui en découlent est suivie d'une concentration inéluctable. La peste porcine africaine, une menace.