Bonne dynamique des prix du porc à la veille des fêtes
Le commerce européen est resté dynamique au cours de cette avant dernière semaine de l’année, à la veille du long week-end de Noël.
Le commerce européen est resté dynamique au cours de cette avant dernière semaine de l’année, à la veille du long week-end de Noël.
L'économie chinoise a continué de se redresser en novembre.
Nous sommes à la fin d'une année exceptionnelle et étrange. Guillem Burset examine les facteurs qui ont marqué le marché du porc cette année.
Les tendances de prix en Europe ont évolué sans surprise avec une reconduction quasi-générale des cotations dans les principaux bassins.
Les prix de la viande porcine ont baissé en raison de la faiblesse persistante de la demande d'importation sur les marchés asiatiques et de l'abondance des disponibilités exportables.
Les prix internationaux des céréales secondaires sont ceux qui ont le plus chuté, dominés par une forte baisse des prix mondiaux du maïs.
Sur les principaux marchés du porc en Europe, les récentes tendances de prix ont été reconduites avec essentiellement des situations stables comme dans le nord de l’Europe, une reconduction du cours également confirmée en Espagne, un cours en baisse pour la troisième semaine consécutive en Italie et une hausse plus sensible en France.
Les prix du porc sont majoritairement proches de la stabilité tandis que le marché de la viande enregistre quelques hausses.
Le pays lancera cette année le troisième lot d'achat et de travaux de stockage des réserves centrales de porc.
La valeur des exportations de viande de porc a diminué, les volumes exportés ayant diminué de 18 %.
Afin de satisfaire les commandes des produits de fêtes de fin d’année, les abattoirs européens augmentent leur activité dans la limite des offres et du personnel disponibles.
Après des mois et des mois, le prix espagnol a baissé pour s'aligner sur celui de ses partenaires de l'UE ; la cause en est la difficulté d'exporter vers les pays tiers, bien que les réductions des abattages en Europe centrale soient apparues comme une bouée de sauvetage.
En 2022, les prix élevés de l’alimentation animale ont tiré vers le haut les coûts de revient du porc de l’ensemble des pays, en moyenne, ceux-ci ont augmenté de 27%.
Plusieurs régions clefs en croissance semblent franchir un cap en termes de productivité.
La stabilisation des marchés du porc en Europe se confirme sur la plupart des places de cotations.
Les marchés européens de l’offre sont décrits le plus souvent comme équilibrés, à présent que les retards d’enlèvement, issus des différents fériés, sont peu à peu résorbés.