Fin du mimétisme : le plancher est proche
La similitude presque mimétique entre la courbe des prix de 2015 et celle de cette année prend fin ici et maintenant. Il semble totalement impossible que la descente se poursuive jusqu'au 0,95 atteint alors.
La similitude presque mimétique entre la courbe des prix de 2015 et celle de cette année prend fin ici et maintenant. Il semble totalement impossible que la descente se poursuive jusqu'au 0,95 atteint alors.
A la sortie du SIAL, un sentiment positif s’est dégagé après l’annonce que des importateurs chinois seraient en demande de viande européenne pour couvrir des besoins grandissants à l’approche du nouvel An chinois.
Un relatif équilibre offre / demande s’instaure sur les marchés européens au début de cette deuxième quinzaine d’octobre.
Pour le producteur, quelle que soit son efficacité, il est essentiel de s’aligner sur un transformateur qui a démontré qu’il est un acteur prospère et résilient à long terme, ayant accès au marché mondial.
MPB : + 2,2 centimes dans la semaine. La demande de rentrée est bonne, tandis que les offres restent inférieures aux besoins.
À l'heure actuelle, tout dépend de l'évolution de la situation en Chine.
La tendance haussière s’est propagée dans les pays nord-européens.
Ailleurs en Europe, c’est la stabilité des cours qui a prévalu la semaine dernière.
Le coût du personnel représente entre 6 et 7% du coût total de production de nos porcs, néanmoins, le personnel a une influence sur 100% de ce coût puisque presque tous les travaux dans une ferme sont manuels ou contrôlés par celui-ci.
Dans le Nord de l’Europe, des baisses de prix ont été enregistrées la semaine passée. Dans le sud de l’Europe, l’orientation des cours est différente bien que la progression se fasse lentement.
Peu de changement sur les marchés européens cette dernière semaine qui clôture un mois de juin marqué globalement par une grande stabilité des cours.
La semaine écoulée s’est à nouveau caractérisée par une désespérante stabilité sur les marchés porcins européens, alors que le mois de juin est entré dans sa seconde partie et que les mois de juillet et août sont rarement synonymes de fortes hausses des cours.