Page 12 sur Articles sur sdrp
Cas clinique: Episode de grippe dans un élevage stable en SDRP et Mhyo
En juillet 2010 un sévère épisode respiratoire s'est produit dans l'élevage : toux sur le cheptel de renouvellement, toux et dépression en engraissement, avec aussi une augmentation du pourcentage de mort-nés et de momifiés sur un lot de truies.
Systèmes de filtration d'air dans les élevages de truies reproductrices : définitions techniques et stratégies d'application
Dans les zones à forte densité porcine d’Amérique du Nord, la filtration de l'air joue un rôle essentiel dans l'efficacité pour maintenir les élevages commerciaux de truies négatifs face au virus du SDRP.
Cas clinique: Un cas de SDRP
Tout commence avec des avortements qui apparaissent d'une manière spectaculaire en avril. Cela commence le samedi 23 et a continué pendant la semaine suivante jusqu'à atteindre 34 avortements.
Fluides oraux - Prise d'échantillons
Le prélèvement et l'utilisation de salive comme échantillon pour le diagnostic en production porcine est intéressante car rapide, simple et moins coûteuse. Cette technique a déjà été validée pour le SDRP, le PCV2 et l'influenza,
Cas clinique: Pneumonie avec mortalité élevée en engraissement
Après 15 à 20 jours de transfert, en phase de croissance, on notait l'apparition d'une toux généralisée et une perte de poids. La mortalité était de l'ordre de 30% et la mortalité de 4 à 6%.
Le vaccin contre le PCV2 : qui, quand et comment vacciner ?
Quels sont les problèmes rencontrés avec la vaccination et comment contrôler les maladies produites par le PCV2 ?
Le diagnostic du syndrome dysgénésique et respiratoire porcin (SDRP)
Le syndrome dysgénésique et respiratoire du porc (SDRP), ou maladie de l'oreille bleue, est dû à un virus ARN ayant tendance à muter rapidement ce qui permet l...
Cas clinique: Cas aigu de SDRP
Cas clinique: SDRP / Grippe / Actinobacillus : une association de malfaiteurs - Quel(s) pathogène(s) mettre en cause ?
SDRP : Le choix d’une stratégie vaccinale dans le moyen et le long terme
Dans les articles précédents, vous avez pu remarquer qu’il était très difficile de généraliser en matière de SDRP . Les situations sont très complexes en élevage et elles peuvent différer sur de nombreux points.
SDRP : Les stratégies de contrôle dans les élevages stables actifs
Par définition, les élevages stables actifs se caractérisent par une absence de circulation virale dans le naissage mais une circulation virale active en engraissement.
SDRP : stabilisation d’un élevage instable actif
L’élevage est contaminé par le SDRP depuis au moins 1996. Depuis cette date, le troupeau de naissage n’a jamais présenté de signes pathologiques « explosifs » attribuables au virus mais connaît des « vagues » de mise-bas précoces, mortinatalité, momifications, mortalités pré-sevrage.
SDRP : Comment définir la taille de l’échantillon à analyser ?
Les différentes techniques d'analyse sérologie, PCR, séquençage, nous permettent de détecter le virus du SDRP au sein du troupeau, de diagnostiquer l'infection et de déterminer le niveau de circulation virale d'un élevage infecté.
Intérêts des différentes techniques d’analyses du SDRP
Souvent cette étude diagnostique est du ressort du vétérinaire traitant de l’exploitation. Cependant, il est tout de même important pour les éleveurs de comprendre autant que la démarche en elle-même les raisons du choix et l’intérêt relatif de chaque type d’analyse.
SDRP : Étude de stabilité du naissage et de la circulation en PS-Engraissement : que veut dire stable ou instable, actif ou inactif ?
Contrôler le niveau de stabilité d'un élevage positif vis à vis du SDRP, c'est déterminer le niveau de circulation virale, c'est à dire la transmission du virus SDRP d'un animal à un autre. Cette étude permet de classer les élevages (stable/instable, actif/inactif), et, grâce à cette classification, de déterminer la méthode adéquate de contrôle ou d'éradication du SDRP.