Interaction entre SDRP et App
Dans les élevages positifs en SDRP, le contrôle de l'App sera un maillon incontournable dans le contrôle des pleuropneumonies.
Dans les élevages positifs en SDRP, le contrôle de l'App sera un maillon incontournable dans le contrôle des pleuropneumonies.
Etant donné qu’on peut considérer que l’infection par le virus du SDRP est commune dans les zones à forte densité de porcs (comme nous l’avons vu dans un article précédent) il est très fréquent de penser que, dans ces cas, la biosécurité ne peut guère suffire. Il faut cependant mettre en place une bonne biosécurité pour éviter l'entrée de nouvelles souches.
Le présent article montre que, au moins “in vitro”, l'ordre importe. Dans les cas d'infections mixtes PRRS/PCV2, quand l'iinfection par le SDRP est antérieure ou simultanée à l'infection par le PCV2, les conséquences sont pires que quand la séquence est inverse.
Etant donné qu'une grande majorité des élevages commerciaux sont endémiquement contaminés par M. hyopneumoniae, les mesures de contrôle du SDRP doivent prévoir des mesures de contrôle de M. hyo.
Dans les zones à forte densité porcine, une grande proportion des élevages sont endémiquement infectées. Dans ces situations le groupe à risque est celui des primipares.
La forte prévalence rencontrée corrobore la sensation que nous avons sur le terrain que le PCV2, le SDRP et l'influenza sont largement répandus dans nos élevages.
333 est heureux de présenter une enquête préparée par EuroPRRSnet et destinée aux vétérinaires et aux éleveurs. La récompense pour tous les participants inscrits sera l’accès immédiat aux résultats. L'enquête se compose de 15 questions à choix multiples et peut être répondue en moins de dix minutes.
Les pertes économiques associées avec M. hyopneumoniae seul ou en combinaison avec le SDRP font partie des quatre défis sanitaires avec les plus grandes pertes économiques dans la population étudiée.
Après l’évaluation clinique et sérologique, on décide de vacciner contre le SDRP, ce qui permet une amélioration sanitaire de l’élevage. Quelques mois après une toux sévère apparait en engraissement puis en post-sevrage et aussi chez les truies.
Les pathogènes porcins qui sont majoritairement transmis par contact direct, de porc à porc, sont en général maîtrisés avec les programmes de biosécurité et les stratégies de conduite actuelles. Cependant, les pathogènes qui sont transmis par voies multiples semblent fuir les systèmes de biosécurité standard
Cet élevage a son propre renouvellement à partir de grand-parentales mais, profitant de l'adaptation à la loi sur le bien-être animal, il a été décidé d'augmenter la capacité de 600 à 1200 truies reproductrices.
Une des bases potentielles de la sélectin génomique est l'identification de gènes ou de régions spécifiques avec un impact significatif sur la santé porcine et l'amélioration de la sélection sur la résistance et/ou la tolérance aux maladies.
Un mois après le début d'un trouble de la reproduction, on a détecté sur des porcelets de 6 à 8 semaines de vie, des problèmes respiratoires et de la diarrhée aigüe qui ne répondaient pas aux antibiotiques...
La prévalence de la pleurésie est étonnamment élevée sur les porcs à l'abattoir. Une récente étude a montré des données de 12,5 % au Royaume-Uni, 26 % en Espagne et jusqu'à 41 % sur des porcs individuels dans une étude norvégienne.
Cette étude reflète la performance de ce système de biosécurité dans un ensemble spécifique d'élevages de truies reproductrices d'une zone à haute densité porcine.