Séroprévalence de certains agents pathogènes viraux chez le porc
La forte prévalence rencontrée corrobore la sensation que nous avons sur le terrain que le PCV2, le SDRP et l'influenza sont largement répandus dans nos élevages.
La forte prévalence rencontrée corrobore la sensation que nous avons sur le terrain que le PCV2, le SDRP et l'influenza sont largement répandus dans nos élevages.
333 est heureux de présenter une enquête préparée par EuroPRRSnet et destinée aux vétérinaires et aux éleveurs. La récompense pour tous les participants inscrits sera l’accès immédiat aux résultats. L'enquête se compose de 15 questions à choix multiples et peut être répondue en moins de dix minutes.
Les pertes économiques associées avec M. hyopneumoniae seul ou en combinaison avec le SDRP font partie des quatre défis sanitaires avec les plus grandes pertes économiques dans la population étudiée.
Après l’évaluation clinique et sérologique, on décide de vacciner contre le SDRP, ce qui permet une amélioration sanitaire de l’élevage. Quelques mois après une toux sévère apparait en engraissement puis en post-sevrage et aussi chez les truies.
Les pathogènes porcins qui sont majoritairement transmis par contact direct, de porc à porc, sont en général maîtrisés avec les programmes de biosécurité et les stratégies de conduite actuelles. Cependant, les pathogènes qui sont transmis par voies multiples semblent fuir les systèmes de biosécurité standard
Cet élevage a son propre renouvellement à partir de grand-parentales mais, profitant de l'adaptation à la loi sur le bien-être animal, il a été décidé d'augmenter la capacité de 600 à 1200 truies reproductrices.
Une des bases potentielles de la sélectin génomique est l'identification de gènes ou de régions spécifiques avec un impact significatif sur la santé porcine et l'amélioration de la sélection sur la résistance et/ou la tolérance aux maladies.
Un mois après le début d'un trouble de la reproduction, on a détecté sur des porcelets de 6 à 8 semaines de vie, des problèmes respiratoires et de la diarrhée aigüe qui ne répondaient pas aux antibiotiques...
La prévalence de la pleurésie est étonnamment élevée sur les porcs à l'abattoir. Une récente étude a montré des données de 12,5 % au Royaume-Uni, 26 % en Espagne et jusqu'à 41 % sur des porcs individuels dans une étude norvégienne.
Cette étude reflète la performance de ce système de biosécurité dans un ensemble spécifique d'élevages de truies reproductrices d'une zone à haute densité porcine.
Voyant tout le débat sur les aspects éthiques et économiques concernant l'abattage de millions de porcs lors d'un épisoble de maladie à déclaration obligatoire, il faut se demander si on doit créer un autre agent infectieux devant être éliminé par des abattages sanitaires avant de commencer un programme d'éradication du SDRP.
La vigilance comprend la collecte, l’enregistrement et l'analyse de données, ainsi que la diffusion d'informations aux parties intéressées pour qu'elles puissent adopter des mesures pour le contrôle de la maladie
Le résultat recherché de la conduite stratégique du cheptel de renouvellement au niveau de l'entreprise est la minimisation des pertes économiques potentiellement dues au SDRP.
La taille de la portée sur le dernier et l'avant-dernier lot a été significativement réduite et les porcelets sont peu homogènes en poids, état corporel et viabilité.
Chaque année de nombreux isolats génétiquement différents sont identifiés dans des zones à haute densité porcine mais peu de souches sont capables de se transmettre entre élevages et encore moins nombreuses sont celles capables de se disséminer largement et de dominer toute une région ou un système.